PRESENTATION

bonjour et bienvenu,

des conseils ...
eviter les casinos qui sont trop visibles sur la toile !
eviter les bonus !
choisir les casinos avec une licence européenne !

tu peux faire un tour et lire cette rubrique !

Conseils pour commencer au casino en ligne

voila ... plus ...des conseils aux membres du forum !!!

ce qui est important c'est de savoir ce que tu veux faire dans un casino en ligne ? quels jeux ?

ensuite je te conseil d'éviter des sites de casino trop agressifs commercialement ! bien lire les conditions de bonus et les attributions !

je ne donne pas de nom de casino sur le forum ... mais si tu participes assez chez nous, je pourrais te donner en "Message Perso" , des pistes pour des casinos sérieux !!

a bientôt

Bonjour,

Merci Jackman de ta réponse rapide.
J'ai été jeter un oeil sur tes liens, effectivement les trois casinos que j'ai nommés n'y figurent pas.
Je vais les abondonner, je suis pour l'instant interressé uniquement par la roulette.
Aussi si tu peux me conseiller en MP, un ou deux Casinos. Mais aussi si ce n'est pas galère avec les tractations bancaires, pour miser et récupérer les gains rapidement bien-sûr !

Je vais continuer à parcourir le forum pour plus d'info !

Merci encore

Trouvix

Merci c-master,

J'apprecie ta réponse, et je suis content d'avoir trouvé un forum composé de gens sérieux, qui dans ce domaine du jeu, mettent en avant la prudence et le loisir d'abord, et surtout éviter les arnaqueurs.

Je vais suivre tes liens pour mieux m'informer.

Mais c'est quoi le b3w ???

Merci encore et à bientôt.

Trouvix

le groupe B3W est un groupe spécialiste dans la fabrication de jeux ....

j'ai personnellement rencontré les responsables qui sont des personnes extrêmement sérieuses avec leur clientèle ...

voici une interview de Mr François Burst ... un grand responsable de cette entreprise...

le lien vers le groupe : http://www.b3wgroup.com/

François Burst, Groupe B3W : "Personne n’est dupe : il n'y a pas d'ouverture du marché français des jeux d'argent en ligne
29.04.2008 - source http://jeux-argent.20minutes-blogs.fr

Suite aux évolutions juridiques en cours sur le marché français des jeux d'argent en ligne, François Brust, 43 ans, directeur du groupe de casinos B3W (Blue Winners World Wild) qu’il a fondé il y a dix ans et installé à Malte, a répondu à nos questions.

François Brust : pouvez-vous nous présenter votre parcours ?
Accessoirement, j’ai créé et revendu une agence de publicité, donné des cours de management, été membre du bureau de l’association «La France libre d’entreprendre» en Angleterre, mais principalement, je viens du monde de la finance internationale, qui m’a placé pendant presque dix ans aux services de plusieurs groupes industriels étrangers. C’est l’évolution de cette activité qui m’a amené à me tourner vers les nouvelles technologies, et en particulier à créer une «web agency» en France et aux Etats-Unis. Ces entreprises se sont envolées suite à la «bulle internet», où j’ai bénéficié d’une double reconnaissance, en économie et en technologie.

Pouvez-vous nous présenter B3W, son activité, son développement, ses fondateurs?
B3W est née en 1998, de la rencontre de 3 personnes : un investisseur, un ancien directeur de casino, et moi-même. Nous avons démarré à Paris avec une petite équipe de développeurs et designers, et crée le premier casino en ligne français, betinparis.com Ce site était un site gratuit, financé par la publicité, et permettant aux joueurs de gagner des cadeaux. Le concept avait été validé par Bercy, et plus particulièrement par le ministère de l’intérieur, via la section «courses et jeux».

A l’occasion d’une rencontre avec le sénateur Trucy lors de la rédaction de son premier rapport sur la situation des jeux d’argent en France, j’ai évoqué la formidable levée de fond de Casino on Net, le bouleversement inéluctable des comportements sur internet, et la nécessité de développer une véritable industrie française du jeu en ligne. J’ai alors proposé aux autorités de mettre à leur service la plateforme betinparis pour servir de laboratoire et de base à l’élaboration de règles et de principes de taxation. On ne m’a même pas répondu…

Cette industrie en était à ses débuts et nous sentions que nous y avions notre place, avec une véritable carte à jouer. Comme il n’était pas possible d’être opérateur de site de jeu réel en France, nous sommes partis, et aujourd’hui, il n’y a toujours pas d’industrie française du jeu en ligne, sur un secteur qui réalise des dizaines de milliards de profits.

Nous avons délocalisé notre activité vers le Costa-Rica dés 2001, puis Londres par la suite. Nous avons porté le site Monte-Casino sur notre plateforme, puis Yachting-Casino , qui sponsorisa en 2002 le trimaran du même nom lors de la transatlantique la «Route du Rhum». Aujourd’hui, ce sont 8 sites majeurs qui emploient la technologie B3W. En 2007, nous avons relocalisé notre centre opérationnel à Malte, où nous prévoyons de créer plus de 100 emplois d’ici la fin de l’année*.

D'après nos informations, votre société est titulaire d’une licence de jeux maltaise. Pourquoi avoir choisi Malte plutôt qu’un autre pays européen (Gibraltar, Angleterre) ?
Les licences offertes par Gibraltar, ou par les iles anglo-normandes ne sont pas reconnues par Bruxelles dans le cadre de la CEE, mais uniquement par le Royaume Uni dans le cadre du CommonWealth, c’est pourquoi nous leur avons préféré Malte. Quant à l’Angleterre, la promulgation de la réglementation anglaise sur les jeux en ligne est intervenue alors que nous avions déjà déménagé à Malte ; de plus, il s’agit d’un texte jeune qui risque d’évoluer au fil du temps, or l’industrie n’aime pas les surprises… Malte offre deux choses qui nous sont apparues comme essentielles :

• D’abord, une expérience de plus de six ans dans l’application de sa licence. Ils ont de ce fait développé leur capacité à contrôler l’activité, et leur maîtrise est désormais reconnue ; des Etats Européens telles que la Belgique, ont même requis la collaboration de Malte pour l’élaboration de leur propre réglementation. Le LGA (l’autorité de régulation des jeux) permet ainsi à Malte de lutter efficacement contre les blanchiments d’argent, de garantir des jeux équitables, et d’assurer la protection des joueurs. Certes, les contrôles sont contraignants, et nous avons du revoir bon nombre de procédures pour nous mettre en conformité, mais cela nous a fait avancer, confère une respectabilité sans équivoque, et est de nature à rassurer les joueurs comme les investisseurs.

• Enfin, la licence maltaise est réellement une licence européenne. Tous les jugement rendus montrent l’irrecevabilité de la position protectionniste française, ou il n’est question que de monopole, ou de monopole élargi de «manière contrôlée» (cela reste donc bien un monopole) ; le jugement «ZeTurf» rendu l’année dernière en France par la cour de cassation sonne le glas des tentatives d’exclusion du marché des sociétés licenciées à Malte. Malgré la campagne de désinformation et d’intoxication lancée récemment par le gouvernement français et le lobby du PMU et de la Française des Jeux, les joueurs ne s’y trompent pas : les opérateurs basés à Malte offrent de réelles garanties, et la saine concurrence à laquelle ils sont livrés sert les intérêts du joueur : de meilleurs taux de redistribution.

Quelle part représente la France dans l’activité de B3W?
Depuis notre arrivée à Malte, notre progression sur le marché français a continué, toutefois, nous avons consacré une énergie nouvelle aux autres états, sur lesquels nous n’étions que peu présent.

Comment jugez-vous l’ouverture en cours du marché français des jeux d’argent en ligne ?
Il n’y a pas d’ouverture. Il y a un réel monopole du PMU et de la FDJ. Pour opérer légalement en France, il n’y a qu’une seule solution : être licencié en Angleterre ou à Malte, mais les opérateurs français n’osent pas trop s’y risquer, craignant d’avoir à pâtir de sanction dirigées contre leurs établissements.
Quant à «l’ouverture maîtrisée», si les groupes Accor, Barrière et Partouche sont rassurés (sauf en ce qui concerne l’échéance et les modalités), on peu parler d’un monopole à 5 au lieu d’un monopole à 2. Peut-être un ou deux outsiders seront-ils acceptés dans le cercle, pour faire bonne figure, mais personne n’est dupe : il ne s’agit absolument pas d’une ouverture.
En tant que Français, je trouve cela regrettable. Cela ne permettra toujours pas de mettre en place une véritable industrie du jeu en ligne, capable d’être concurrentielle à l’échelle internationale, de générer des revenus importants, les taxes qui vont avec, et créer de nombreux emplois.

L’ouverture du marché français peut-elle vous amener à développer votre activité en France, voire vous y implanter ? Comme je l’ai dit, il n’y a pas d’ouverture. Nous sommes une entreprise Européenne qui répond aux règles fixées par la CEE, dont la France fait partie. Notre activité est immatérielle, et ne nécessite pas d’être présent physiquement sur un marché pour y jouer un rôle. Ce qui est certain, c’est que des partenariats et des alliances stratégiques sont inéluctables.

Cette industrie à 10 ans, et la France n’a aucune expérience en la matière. Nous sommes prêts à apporter notre savoir faire et notre expérience pour permettre aux acteurs du marché d’avoir une chance de réussite, mais encore une fois, cela nécessite une réelle ouverture.

Bercy annonce que l’«ouverture maîtrisée» ne doit durer qu’un temps (comme une période de rodage), en fait, c’est créer un handicap supplémentaire pour ceux qui voudront rejoindre cette industrie ; en plus des 10 ans de retards qui leur ont déjà été infligés, on va les retenir encore un peu plus sur la ligne de départ, afin d’assurer un avance confortable à un petit nombre d’élus !

Comment vos clients/partenaires envisagent-ils de développer leur activité en France. Comme je l’ai dit, seule, une vision à la fois Européenne (pour ne pas dire mondiale) et industrielle permettra de s’imposer. Un petit nombre de groupes, dont B3W, ont déjà acquis une renommée, sont reconnus et appréciés. Leur évolution passe par des mécaniques d’acquisition fusion, permettant de créer les synergies entre les différents courants du jeu en ligne (casino, paris sportifs, loteries, poker). Les nouveaux arrivants sur ce marché seront donc acheteurs ou candidats à fusion.

Francois BRUST, merci.

* D'après un article de Libération, ses huit casinos en ligne génèrent 300 millions d’euros de mises par an.

Voilà une réponse claire et complète...............Merci.
En final nous sommes toujours aussi dynamiques en France ..............et lorsque l'on va réagir, les autres nous aurons déjà coupé l'herbe sous les pieds

Mais alors une question : peut-on jouer et encaisser de l'argent via ces jeux en ligne ?

A bientôt