Les importants groupes d’opérateurs transalpins de jeux en ligne prendre part à l’ouverture du marché français. L’autrichien Bwin et un grand nombre d’opérateur britanniques de jeux en ligne ne sont pas les seuls dans l’Europe à regarder le futur marché français qui devrait être ouvert à la concurrence pour le mois de juin.
L’Italie pourrait s’apprêtait à entrer dans le marché.
Maurizio Ughi, le président de la SNAI (Società Nazionale Agenzie ippiche) a assuré lors d’un colloque «Nous allons participer », l’un des importants opérateurs de jeux italien, mais aussi un groupe varié, fournisseur de technologie pour le secteur des jeux et exploitant d’hippodrome (600 millions € de chiffre d’affaire pour l’année 2009 pour quatre milliards de mises) Selon Maurizio Ughi, la SNAI qui est cotée à la bourse de Milan, devrait prendre position dans trois secteurs d’activités :les paris hippiques, sportifs et le poker.
Le président de la SNAI n’en critique pas moins ouvertement les désavantages de la fiscalité française et juge pesante celle appliqué sur les paris hippiques, dont le taux de prélèvement atteint de manière globale les 15%. « Les joueurs iront voir ailleurs. Toute la filière hippique française s’enfoncer d’ici deux ou trois ans » a même annoncé l’impatient dirigeant, tout en faisant le pari que la fiscalité baissera, comme ce fut le cas du coté transalpin.
Sisal un autre opérateur important italien réfléchit lui aussi a une éventuelle arrivée sur le marché français, a indiqué Giovanni Maggi directeur des affaires institutionnelles de Sisal. « L’ensemble des jeux nous intéressent, mais c’est plus difficile pour les paris hippiques, le PMU possède un gros avantage » il précise que les décisions de demandes de licences ne sont pas encore prises.
« Le marché italien est notre priorité, mais le marché français pourrait devenir une occasion d’opportunité dans notre projet d’internationalisation ». D’autre part il accueille la nouvelle réglementation française, qu’il juge novatrice, néanmoins le directeur des affaires institutionnelles de Sisal regrette lui aussi la fiscalité élevée sur les paris sportifs.
Bono