C’est en tout cas ce qui est prévu, les opérateurs de jeux pourraient investir plus de 750 millions d ‘euros pour leur publicité. Ce montant devrait s’étaler sur les trois premières années de l’ouverture du marché français, selon une analyse reprise par le site de L’Expansion.
Lors d’une réunion d’experts administrée par le Geste (Groupement des éditeurs des services en ligne) qui a eu lieu hier lundi 22 mars, le directeur général du cabinet NPA Conseil Jean-Emmanuel Casalta, a maintenu que les « lourdeurs administratives d’inscription » des joueurs français sur les nombreux sites de jeux en ligne « ralentiront les multi-inscriptions » sur plusieurs sites et « attribueront un bonus à la première inscription »
M. Casalta ajoute que les opérateurs devront faire reporter une part conséquente de leurs investissements sur la publicité, le but principal étant d’attirer les joueurs sur leur site. Les estimations de ces investissements se situent aux alentours de 600 à 750 millions d’euros brut pour les trois années à venir. M. Casalta évalue la somme des mises globales des joueurs français sur les sites disposant de licences françaises entre des deux et trois milliards d’euros par an. Ce montant pourrait être doublé par deux d’ici 2013. En comparaison le chiffre d’affaire des jeux en ligne en Grande Bretagne se situe actuellement à 7 milliards d’euros réparti chez 150 opérateurs.
L’ARJEL (futur Autorité de régulation des jeux en ligne) aura pour mission de remettre les licences d’exploitation, selon un cahier des charges très astreignant. Pour ouvrir un compte, les joueurs devront ouvrir un compte provisoire en procurant les documents d’identités nécessaire à la validation du compte (interdiction pour un mineur âgé de moins de 18 ans d’ouvrir un compte de jeu) l’opérateur devra aussi s’assurer que le joueurs ne possède pas plusieurs compte chez lui, il devra également vérifier qu’il ne soit pas inscrit sur la liste des interdit du jeu du Ministère de l’intérieur, ensuite le joueur recevra un code personnel pour débloquer son compte.
Bono
L’ARJEL (futur Autorité de régulation des jeux en ligne) aura pour mission de remettre les d’exploitation, selon un cahier des charges très astreignant.
les licences d'exploitation peut-être ?
Sinon sur le fond, après Hadopi et Loppsi, tout ceci ressemble à une belle usine à gaz supplémentaire ! Complication, lourdeur et difficultés de déploiement attendent les candidats, qu'ils soient joueurs ou casinotiers...
et oui Bono il faut se relire
merci hellbet
ça c'est à cause de l'ouverture du jeux en ligne à la concurence bientot en france