Neuf joueurs qui se proclame pathologique, ont décidé de manifesté leur jugement sur la fusion fait à l’amiable qui s’est produite dans le cadre d’un recours entrepris contre Loto-Québec.
Le règlement qui a prévu la conciliation, prévoit que l’entreprise d’Etat indemnise les frais liés aux jeux à tous les joueurs pathologiques. Le remboursement comprendra les frais de thérapie entre 1994 et 2002. Depuis cette date, le régime d‘assurance maladie couvre ces frais.
Cette décision critiqué par les antagonistes des jeux de hasard pourrait avoir un coût mois élevé par rapport à la première réclamation, Loto-Québec devrait verser plus de 10 millions $. A l’origine Loto-Québec aurait du verser plus de 700 millions de$. C’est Jean Brochu qui représente l’ensemble des125.000 joueurs pathologique, qui a entrepris le 18 mai 2001, d’attaquer le Loto-Québec avec un recours collectif.
Afin de compenser les frais de thérapie liés à la pathologie, Jean Brochu avait réclamait 5000 $ par joueurs, cette somme incluait les troubles ainsi que les inconvénients.
Aujourd’hui, après neuf années passées, le litige entre la société d’Etat et les joueurs arrive à sa fin. Au mois de janvier, les grands journaux quotidiens ont publiaient un avis, qui décrit le contenu de l’accord à l’amiable hors cour. L’avis qui avait l’autorisation du juge, encourageait également les joueurs ayant rencontré des difficultés avec le jeu, donc impliqués directement par le recours, à se joindre devant le tribunal pour pouvoir s’exprimer. L’audience se tiendra lundi.
La responsabilité reviendra au juge Gratien Duchesne de prendre la décision ou non, d’entériner l’accord. Si la première option est choisie, les joueurs auront 18 mois exactement pour revendiquer leur dédommagement.
Bono
