Après avoir succombé à de lourd investissement dans le casino de Cagnes-sur-Mer, le groupe Tranchant attend désespérément l’arrivée de jours meilleurs. Le casino ne peut pas gagner à chaque fois, et dans une situation économique peu favorable, le casino Terrazur n’échappe pas au contexte. Le groupe tranchant aura beaucoup de mal à atteindre les objectifs qu’il s’était fixé.
Au mois de juin 2009, l’objectif était simple, à son ouverture le groupe avait prévu de multiplier le chiffre d’affaire par deux. Les travaux avaient permis de rendre ce petit casino de bord de mer en un splendide établissement flambant neuf.
Le fondateur du groupe Tranchant, George Tranchant, indique qu’a ce jour, Terrazur est en progression de 60% par rapport à l’exercice précédent.
Malgré des moments difficiles, le doute n’est pas permis dans les bureaux de la direction, il n’est pas question de céder à la panique en voulant a tout prix attirer les clients en multipliant les coûts de campagnes publicitaires ou autres coups médiatiques.
« C’est bientôt l’anniversaire du casino, est pour ses un an, l’évènement sera forcément marqué, mais ont va pas non plus faire des feux d’artifices » assure Sylvain Pierrat le directeur général du casino.
« Hors de question de faire venir des personnalités autour d’une table de poker, afin de faire un gros coup dans les médias locaux, en quelque sorte, on attend que la tendance s’inverse en continuant de faire notre travail le plus sérieusement possible comme n’avons cessé de le faire jusqu’à maintenant » poursuit Sylvain Pierrat
« Nous sommes dans une période fidélisation avec la clientèle, le casino communique, on mais en place des campagnes d’affichages, mais la publicité ça coûte très cher » insiste le directeur.
« Pour trouver des signes d’encouragements, il faut regarder du coté des spectacles. Il y a une vrai activité qui est en train de se développée, le calendrier est presque complets, avec des soirées privées, des mariages et des spectacles bien évidement »
L’une des principales priorités de la centaine d’employés que compte l’établissement de jeu, est de donner vie au gigantesque cube de verre. Tous les jours le personnel met tout en œuvre pour animées les salles de jeux.
En attendant la ZAC de Saint-Jean, le fondateur du groupe reste très optimiste.
Bono