Christophe Jourdain fait le point sur l’entreprise qu’il mène avec ses 90 salariés, avec un chiffre d’affaire en baisse de 20% depuis deux ans, le casino a quant même instauré le treizième mois pour son personnel, la rénovation de la façade du palais de l’Europe, et l’arrivée de nouvelles machines à sous, le casino Barrière semble bien aller de l’avant.
Christophe Jourdain, président de la SAS casino Barrière depuis trois ans, à dressé le constat « Au niveau des jeux de notre activité, en deux ans, nous avons perdu un peu plus de 20% » et ce n’est pas réjouissant. En raison de trois facteurs réunis, la mise en place du contrôle de l’identité des clients aux entrées des établissements en vigueur depuis novembre 2006, ensuite vint l’interdiction du tabac, le 1er janvier 2008, et pour finir la crise finir la crise financière qui est devenue « une crise de doute ».
En 2009, le produit brut des jeux a plafonné à 15 millions d’euros et les espérances de 2010 ne sont pas « encourageantes » après un début d’année assez difficile, on continue à observer une dégradation du secteur, qui est général, déplore Christophe Jourdain. Seule espoir de consolation « Le casino Barrière perd moins que les autres établissements. » dans cet environnement économique où le jackpot n’est pas à l’ordre du jour, le casino Barrière continue cependant d’aller de l’avant.
Grâce notamment à l’intervention du député maire du Touquet, Daniel Fasquelle, le casino a récemment obtenu le droit de la commission supérieure des jeux de pouvoir augmenter son nombre de machines à sous, ce qui portera leur nombre de 151 à 176.
En pleine crise économique, le casino qui emploie 90 personnes, a maintenu l’effectif, Christophe Jourdain explique « on s’est ajusté, on n’a parfois pas remplacé des départs et réduits aussi les effectifs lors des saisons, mais en même temps, on a même fidélisé nos collaborateurs en mettant en place un treizième mois progressif. »
Bono