Après les casinos francophones de Spa, Chaudfontaine, Dinant, Namur et Bruxelles, les casinos flamands de Knokke, Middelkerke, Ostende et Blankenberge vont aussi terminer cette année dans le rouge.
Les casinos broient du noir : En tout ce sont 240 emplois sur 900 perdus dans les neuf casinos belges en trois ans.
En cause, l’arrivée des jeux en ligne, la crise, l’interdiction du tabac. Les casinos demandent donc soit une réduction de la taxation des recettes (35-44 %) ou un abaissement fiscal sur les salaires.
Le salaires des croupiers n’est plus couvert par les pourboires. Ce sont donc les patrons qui doivent leur payer le salaire minimum garanti, environ 2.400 euros par mois. Mais ils les paient avec l’argent des gains, déjà taxés.