La justice suisse renvoie les fans de poker dans les tripots
Dorénavant privés de tournois hors casinos, les passionnés de poker, risquent fort de replonger dans les salles clandestines.
Les as, de la quinte flush ont le moral en berne, mercredi, le TF le Tribunal fédéral a fait l’annonce que les particuliers n’avaient plus le droit de mettre en place ou d’organiser des tournois de poker publics, après plus de deux ans et demi d’accord et d’autorisation.
L’autorité judiciaire à estimé que les résultats de ces parties répondaient du hasard et que par conséquence elles n’avaient de place qu’au casino. Cette décision condamne les clubs qui, en l’espace de peu de temps (quelques temps) avaient fleuri pour sortir le poker de la clandestinité.
Alexandre Bourguet, de Fripoker, Organisateur de tournois de à Fribourg juge cela « Déprimant » il fait la prévision que les accros ne se joindront pas aux tables de casinos : « chez nous on pouvait passer des heures à jouer pour 50 francs. Là-bas, cela coûte des centaines de francs. » Il rajoute que la prise de décision regrettable du TF est ambiguë « Elle autorise les autorise les tournois entre amis. Via facebook, où on a des centaines d’amis, c’est parties sont gigantesques. » Sa colère est partagée par Serge Guerriero, membre du groupement Swiss Holdem : » on va avoir droit au retour des réseaux clandestins et des parties dans les cabanes de forêts. »
Du côté des casinos, on promet de faire l’effort pour faire revenir les joueurs déçus. Cette perspective, inquiète sérieusement le Groupement Romand d’étude des addictions. Selon c’est experts de la prévention, les jeunes pourraient bien y être pris par le virus des machines à sous, vidéos poker et du blackjack.
Bono