Bonjour,
Je suis journaliste et j'écris un article consacré aux chances de gagner au casino. Je sais pertinemment que le hasard y est pour beaucoup et que, le plus souvent, c'est le casinotier qui est gagnant. Néanmoins, j'aimerais avoir quelques tuyaux sur les machines à sous et les principaux jeux de table dont la ROULETTE.
Ayant des doutes sur l'efficacité des martingales, je préférerais écouter ce que les croupiers ou des joueurs expérimentés ont à me dire. Les conseils les plus simples sont souvent les meilleurs. Bien entendu, je garantis l'anonymat aux croupiers qui m'accorderont un peu de temps et d'énergie!
N'hésitez pas à prendre contact avec moi
ce petit monde est très fermé... vous aurez difficilement des infos concrètes car ttmde campe sur ses secrets s'il y en a...
et tout le monde campe aussi sur ses convictions....
Ainsi que sur ses rêves et illusions utopiques, ses croyances, ses superstitions, ses mythes, ses applications erronées de certains concepts scientifiques ... j'en passe et des meilleurs.
Icare :
"On raconte que le mythe prit naissance lorsque, Icare se trouva enfermé avec son père dans le Labyrinthe. Ce Labyrinthe avait, dit on, était construit par Dèdale, le père d'Icare.
L'Histoire dit que, tous les deux purent s'en échapper grâce à l'ingéniosité dont Dédale fît preuve. Regardant le ciel, il eu l'idée de vouloir imiter ce qui lui sembla être le symbole de la libération de toutes entraves : les Ailes qui font voler les oiseaux .
Ils se mirent alors à fabriquer des ailes, et grâce à de la cire qu'ils firent fondre, ils les attachèrent à leurs épaules. Puis, ils s'envolèrent.
Dèdale recommanda alors à Icare, de ne pas s'approcher trop près du soleil.
Mais Icare, prit par l'ivresse de l'immensité du ciel, s'envola de plus en plus haut et se dirigea vers le soleil.
Plus Icare se rapprochait du Soleil et plus la fatigue s'installa, les ailes, petit à petit, eurent du mal à battre à un rythme régulier.
La chaleur, devenant de plus en plus forte, fit fondre la cire qui entourait les épaules et les bras du jeune homme.
Les ailes se détachèrent, et Icare tomba dans la mer pour y mourir."
Certains sont toujours dans le labyrinthe, et ce n'est pas mieux
X Solenne
sans doutes devriez vous insister sur le fait que le facteur humain est bien plus important que l aspect purement technique
stress, imprécision, emballement, indiscipline, manque de rigueur , appât du gain, panique lors des pertes, sont des phénomènes qui pèsent bien plus lourd que le désavantage du zéro ou l approche technique ou méthodologique
Certains sont toujours dans le labyrinthe, et ce n'est pas mieux
Ou dans la boîte
mais Breughel en fit un de ses chefs d oeuvre,et Icare sombrait pendant que le laboureur labourait, indifférent à ces contingences
Ou dans la boîte
mdr
mais Breughel en fit un de ses chefs d oeuvre,et Icare sombrait pendant que le laboureur labourait, indifférent à ces contingences
Magnifique tableau !
cherchez Icare
fabuleuse métaphore en effet
Moi, je sais
« Le Vol d'Icare de Breughel, plein de soleil, est l'expression même de la solitude, non pas de l'égoïsme, mais de l'indifférence qui isole les hommes les uns des autres. Il a sans doute raison, ce laboureur, de tracer son sillon pendant qu'Icare se tue. Il faut que la vie continue, que le grain semé ou récolté pendant que d'autres se meurent. Mais on souhaiterait qu'il lâche sa charrue et aille au secours de son prochain. Je me trompe peut-être et sans doute ignore-t-il qu'un homme se tue. Il est aussi inconscient que la mer et le ciel, que les collines et les rochers. Icare meurt, non pas abandonné mais ignoré. Chacun de nous est comme ce laboureur. Chaque fois que l'on sort, on passe à côté d'un désespoir, d'une souffrance ignorée. On ne voit pas les regards implorants, ni les misères de l'âme ou du corps. Je suis loin de mon prochain. Si j'en étais vraiment proche, j'abandonnerais toujours, sans même y réfléchir ce que je suis occupée à faire, pour aller vers lui. »
Anne Philipe, Le temps d'un soupir*
moi aussi
Le Boulevard des allongés est plein de morts...
"L'enfer c'est les autres..."
