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DEFOULOIR Interactif !!! LE LIVRE DE LA JUNGLE !!

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(@azgj2)
Noble Member
Inscription: Il y a 17 ans
Posts: 1440
 

Tu avais bien tendu la perche, si j'ose dire


   
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(@lezero)
Prominent Member
Inscription: Il y a 18 ans
Posts: 829
Début du sujet  

En remontant son pantalon, il remontait ses souvenirs...

Il y a longtemps vivait un officier de l'armée royale nommé Capitaine John. C'était un homme, un vrai de vrai, qui ne montrait aucune peur lorsqu'il faisait face à ces ennemis.

Un jour, alors qu'il naviguait sur les 7 mers, il vit un bateau pirate approcher. Son équipage était très nerveux. Le capitaine John cria :
- Allez me chercher ma chemise rouge!

Le premier officier alla chercher la chemise rouge du capitaine qui aussitôt l'enfila. Il mena alors son Équipage à la bataille et tua tous les pirates.
Ce soir-la, tous les hommes étaient assis dehors et fêtaient leur victoire.

L'un d'eux demanda au capitaine :
- Capitaine, pourquoi avez-vous demandé pour votre chemise rouge avant la bataille?

Le capitaine répondit :
- Si j'avais été blessé pendant l'attaque, mon sang n'aurait pas paru sur la chemise. Et les hommes auraient continué de se battre sans peur.

Tous les hommes le regardèrent avec admiration : ´ Quel homme courageux!

Comme le Soleil se levait le lendemain matin, les marins virent non pas un, non pas deux, mais DIX bateaux pirates qui approchaient.

L'équipage regardait dans un silence horrifié et attendait les ordres du capitaine. Le capitaine John regarda tranquillement les 10 bateaux, dévisagea ensuite son premier officier et lui dit calmement :
- Allez me chercher mon pantalon brun!


   
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(@azgj2)
Noble Member
Inscription: Il y a 17 ans
Posts: 1440
 

Ce souvenir lui fit dresser les poils du cou et lui donna la chair de poule. Après un bref frémissement, il se dit qu'après tout sa situation n'était pas aussi problématique. L'important, finalement, n'était-il pas d'être entouré d'une équipe qui obéit au doigt et à l'oeil, sans se poser de questions ? Encore fallait-il qu'il trouve cette équipe.

Et à cet instant précis, il se remémora son petit voisin d'enfance, Nicolas. Il faut dire que le petit Nicolas avait fait du chemin, il avait bien mené sa barque, depuis cette tendre période d'insouciances qu'est l'enfance.

Figurez-vous qu'un jour, le petit Nicolas déménage à la campagne et achète un âne à un vieux fermier pour 100 euros. Le fermier doit livrer l'âne le lendemain mais justement, le lendemain ...

- Désolé fiston, mais j'ai une mauvaise nouvelle : l'âne est mort.
- Bien alors, rendez-moi mon argent.
- Je ne peux pas faire ça. J'ai déjà tout dépensé ...
- OK, alors, vous n'avez qu'à m'apporter l'âne.
- Qu'est-ce que tu vas faire avec ?
- Je vais le faire gagner par un tirage au sort à une tombola.
- Tu ne peux pas faire tirer un âne mort comme lot !
- Certainement que je peux. Je ne dirai à personne qu'il est mort.

Dans sa situation, le fermier se dit qu'il ne peut pas vraiment refuser. Il amène donc l'âne au petit Nicolas.

Un mois plus tard, il revient voir le petit Nicolas :
- Qu'est devenu mon âne mort ?
- Je l'ai fait tirer au sort. J'ai vendu 500 billets à 2 euros : ça m'a fait une recette de 1 000 euros !
- Et personne ne s'est plaint ?
- Seulement le gars qui a gagné. Ça fait que je lui ai rendu ses 2 euros ...

Nicolas, depuis, a vieilli et est devenu président de la République ... et pour gagner plus, il est toujours entouré d'ânes !

...


   
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(@lezero)
Prominent Member
Inscription: Il y a 18 ans
Posts: 829
Début du sujet  

Excellent mort de rire


   
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(@rambo)
Noble Member
Inscription: Il y a 17 ans
Posts: 1068
 

GE-NIAL


   
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(@azgj2)
Noble Member
Inscription: Il y a 17 ans
Posts: 1440
 

Mais John était toujours torturé par cette idée fixe de retrouver sa chère Adrienne. Comment faire ? L'appeler, aller la voir, lui écrire ? ... Il se savait plus, il ne comprennait plus.

- Ecrire ? Ecrire ? se disait-il. Et si je lui écrivais via un journal ?

John, évidemment, savait comme tout le monde qu'il ne fallait pas croire tout ce qu'on raconte dans la presse. Pourtant, ce qui suivit le fit douter ...

Il se résolut à faire un test et un jour qu'il se sentait vraiment très esseulé, il publia une annonce dans un journal pour trouver l'âme-soeur.

Le texte disait, très simplement, et sans détour :

"Je cherche une femme !".

MIRACLE !

Dans les jours qui suivirent, il reçut plus de 100 000 lettres.

Toutes disaient la même chose :

"Tu peux avoir la mienne !"

...


   
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