http://www.youtube.com/watch?v=l7c3qlPz ... ed&search=
pour la musique
_ j'te previens c'est du coriace !!! du costeau quoi !!!
un denomer rambo , puis ensuite il y aura le casino sans parler du fameux you koun-koun !!!
mais avant je dois passer chez un ami que je n'est pas revue depuis trente ans ; alors tu restera sagement a l'hotel en attendant mes instructions !
"Vittorio Manalese , n'a pas revu son ami azgj2 depuis trente ans , ce dernier c'est ranger dans la bourse , le forex plus precisement ; mais il connait tres bien les filieres du milieu pour ecouler les plus belles pierres du monde, et il a contacter son viel ami de toujours pour une tres grosse operation... "
quand a Roger sartet , c'est un homme de main , un tueur a gage . Sartet
vien de s'evader d'un fourgon cellulaire pendant son transfert au tribunal grace a l'aide du clan Manalese...
mais dans un même temps....
Car Lucky Big Luciano avait juste eu le temps de laisser le message suivant au colonel :
"N'oublie pas les trois notes !"
Et seul Luigi connaissait la musique.
Mort de rire
Et il se rappelait trés bien les 3 notes :
- Ré : N'habite qu'au rez de chaussée afin d'échapper plus facilement au flics, s'ils te cernent
- Sol : couche-toi au sol, quand les balles sifflent.
- Do : face à l'adversité fais le gros dos et attends que l'orage passe.
Il prit son verre et le jeta de toute ses forces contre le miroir du bar, qui vola en éclats.
Il se releva, sortit et regarda d'un bout à l'autre de la rue. Les jeunes feuilles bruissaient comme si quelque chose secouait les arbres, et ce son le troubla. Il brossa ses vêtements, non pour en ôter poussière ou débris, mais parce qu'à cet instant précis il ne savait que faire d'autre. Sous le réverbère de la rue, il consulta la montre que Trautman lui avait donnée la semaine d'avant, et il lui vint à l'esprit que jamais auparavant il n'avait été réveillé à cette heure-là de la nuit. Un vent froid remonta nonchalamment la rue et le glaça, ajoutant à son trouble, et il réprima vainement une irrésistible envie de siffler ou de chanter.
Do, le do il a bon dos
Ré, rayon de soleil d'or
Mi, c'est la moitié d'un tout
Fa, c'est facile à chanter
Sol, l'endroit où nous marchons
La, l'endroit où nous allons
Si, siffler comme un pinson
Et nous revenons à Do
Do, le do...
Do le do l'pack sac su'l'dos
Ré réveillé bien trop tôt
Mi misère en excursion
Fa fatigué de marcher
Sol le sol que nous foulons
La la merveilleuse vaisselle
Si on arrêtait d'parler
Enfin on aurait la
paix, paix, paix
Do, dormir sur son bureau
Ré, réveillé par le prof'
Mi, misère à l'examen
Fa, fatigué d'étudier
Sol, solidifier l'école
La, la directrice est folle
Si, si on fermait l'école
Ce serait un beau cadeau, do do
Do, ré, mi, fa, sol
Toutes les femmes sont folles
Excepté ma bonne
Qui fait cuire des pommes
Dans une vieille casserole
Pleine de pétrole.
...
Le souvenir de sa jeunesse remontait à la surface.
Sa mère lui chantait cette rengaine chaque soir afin de faciliter son sommeil.
Elle le reveillait chaque matin sans mot dire, en entrebaillant tout doucement la porte de sa chambre, qui jouxtait la cuisine.
Les odeurs du petit déjeuner, faisaient le reste et il se reveillait d'un bond, affammé.
Pinpan et Répu, il se dépêchait de ramasser son cartable afin de prendre le bus scolaire à temps.
- N'oublie ta tartine lui rappelait sa mère.
- Bon sang ! Pourquoi faut-il toujours qu'elle tombe du côté beurré ? se demanda-t-il ?
De toute sa vie et de sa carrière, c'était la seule énigme qu'il n'avait jamais pu résoudre et la perspective de n'en avoir jamais l'explication le taraudait, le minait. Là se trouvait peut-ête l'origine de son penchant pour la bouteille.
- Reviens à la réalité, mon garçon ! se dit-il soudain. Cette mission ne va pas être de la tarte.
Machinalement, il s'assura que son poignard était bien calé dans son fourreau, prêt à l'emploi en cas de nécessité. Cela l'aidait à reprendre ses esprits et à se concentrer sur l'essentiel. Mais cette fois, en caressant le manche de son arme, une pensée plus pénible encore lui revint à l'esprit, la loi du maculage culinaire matinal :
- Un couteau ne sort jamais indemne d'un grand pot de Nutella. Putain de vie !
mais il se souvenait que la veille, dans le journal de Tintin, il avait lu un article du professeur Tournesol sur la loi des grands nombres
peuchère se dit il ( oui, John avait des racines marseillaises, dont il se souviendra plus tard au Vietnam) , si le professeur le fait avec une pièce, moi je vais l essayer avec cette tartine ; John, inspiré par une tartine, un comble direz vous ; certes , certes, mais le voici qui découpe soigneusement une dizaine de pains avec son célèbre poignard et commence à les beurrer, non moins soigneusement ( John faisait toujours tout très soigneusement , depuis que les prêtres catholiques de son école le lui avaient enseigné )
puis, une fois que les tranches sont beurrées, voici JOhn qui commence à les lancer en l air et à compter combien tombent sur chaque face
John était un perfectionniste dans tout ce qu'il entreprenait. Il n'était jamais content des résultats qu'il obtenait et il fallait toujours qu'il aille au bout des choses. N'avait-il pas synthétisé son éducation chez les prêtres et son entraînement chez les paras-commandos par cette devise qu'il avait fait sienne : "Lève-toi et marche, ou crève !" ?
Il se dit que la prochaine fois il remplacerait le beurre par du tartare et qu'il appellerait ses tartines des tartatines.
la radio diffusait une chanson de Souchon :
T'ar ta gueule à la récré
J'ai dix ans
Je vais a l'école et j'entends
De belles paroles doucement
Moi je rigole, cerf-volant
Je reve, je vole
Si tu m'crois pas hé
T'ar ta gueule à la récré
John avait peur de la récré.
Il était le punching ball du gros louis, qui lui mettait une raclée, chaque jour.
La peur le tenaillait tellement, qu'il faisait pipi au lit, la quarantaine passée.
Raison pour laquelle, il n'a jamais pu se marier.
vous etes plus fous que moi !!! ça vas etre dur maintenant !!! z'etes contents ?
oui, c est vraiment top moumoute
je me poile depuis le début aussi
allez, que voilà une soupape de décompression formidable
après le test sur la théorie des grands nombres , JOhn ouvre la porte et descend
....
à vous
après le test sur la théorie des grands nombres , JOhn ouvre la porte et descend ...
Le gros Louis, caché derrière.
Il avait vécu ce scénario dans sa tête, des dizaines de fois.
gros Louis?
mais que donc veut il?
....