Bonjour, Moi depuis longtemps je ère sur la toile, pour rechercher des anciens livres, discutant sur les probabilités, la chance et le hasard. Et justement aujourd'hui, je vient de tombé sur un de ses anciens auteurs, entre autre, les Systémistes Allemands, eux parle aussi d'une bible pour les joueurs, aussi provenant d'un auteur Français, "billedivoire" Mais le livre en lecture, est uniquement disponible à las Vegas, ou alors si vous en avez des soussous de trop, payez vous le à 120€ en France, pour le moment, il y'a que un bibliothécaire, qui le vend et bien sûr, à ce prix.
Bien sûr que Billedivoire, est un pseudonyme, puisque les personnes qui s'intéresse au jeu de la roulette, et qui connaissent un peu l'histoire. A un moment donné de son histoire, la bille qui elle tombe dans le cylindre. a été fabriqué avec de l'ivoire. C'est pour cela que cette personne, a utiliser ce pseudonyme.
Ainsi ici ce livre, oui tout les livres qui discute sur le jeu, la chance et le hasard, suivant des lois mathématiques, sont pour ainsi dire des bibles pour les joueurs.
Et là je suis aux anges. oh punaise encore plus vieux, publié en l'an M D C C X I I I (tout le monde à apprit à lire les chiffres romains, n'es ce pas....) et qui ce livre, parle de qui? Blaise Pascal, et oui, dès le moment ou on souhaite connaitre quelques choses sur le jeu de la Roulette, ici il faut se remonté ses manches, et lire sur son créateurs, soit Blaise Pascal. L'auteur lui n'est certes pas Blaise pascal, mais lui aussi à écrit un "traité", (dénomination du temps du royaume, qui pourrait être aujourd'hui la dénomination de thèse), donc patience, patience, mais ici on parle de livre, et à moi, (oui bien sûr que je pourrais vous donnez toutes les pages du livre). Mais un livre en moyenne cela fait 300 pages, pour les plus petit, d'autre monte jusqu'au millier de pages. Ainsi non, trop pour moi, je vais juste intégré les textes parlant du plus importants, soit des lois mathématiques et de leurs fonctionnement. Et du temps du Royaume de France, le roi, s'écrivit "Roy", puisque Roy = Royaume.
Avant de commencé. voici l'une des mentions inscrite dans le livre de notre ancien royaume.
À PARIS,Chez Jacque Quillau, Imprimeur -Juré-Libraire
de l'Univercité, rue Galande.
M D C C X I I I
AVEC APPROBATION. ET PRIVILEGE DU ROY.
Bien je commence donc avec à l’époque de 1914.
Le Jeu, la Chance
et le HasardCHAPITRE I
LE HASARD
L’idée de probabilité est inhérente à la connaissance et en paraît inséparable. Il en résulte que tout être organisé fait, à sa façon, du calcul des probabilités.
Nos actes sont constamment guidés par, la recherche du maximum de plaisir et du minimum de souffrance, nous agissons toujours en faisant ce qui Nous semble être probablement le plus avantageux, c’est donc toujours le sentiment de probabilité qui nous dirige.
Les actes raisonnes sont guidés par le sentiment de probabilité, les actes impulsifs le sont de même, les impulsions ne sont que le résultat de l’accumulation antérieure des probabilités.
L’idée de probabilité existant nécessairement avec la connaissance et formant, pour ainsi dire, corps avec elle, ne peut être le monopole de l'espèce humaine et comme on ne peut refuser aux végétaux même une sorte de connaissance, on ne peut admettre qu’ils agissent en dehors du sentiment de probabilité.
Lorsque, sous une haute futaie, un arbuste s’incline pour profiler du seul rayon de soleil qui peut filtrer à travers les feuilles, il fait à sa façon du calcul des probabilités, il obéit lui aussi au principe du maximum de plaisir, à la loi des grands nombres et des moyennes, il agit en faisant ce qui est probablement pour lui le plus avantageux.
II n’est pas certain que, d’un autre côté, dans une direction très différente, une éclaircie ne se produira pas dans l’ombrage ; c’est une hypothèse très peu probable, l’arbuste paraît le savoir, il agit comme s’il le savait. En le dirigeant vers le point éclairé son infime connaissance a choisi l’hypothèse la plus probable, elle a obéi au principe du maximum d’espérance.
En disant que l’idée de probabilité est inhérente à la connaissance, qu’elle en est inséparable et qu’elle naît avec elle, nous n’avons pas, fort heureusement, à remonter aux sources de la connaissance et aux causes dont elle découle, nous n’avons pas à résoudre le problème de la naissance et de l’évolution de l’instinct, de l’intelligence, des sentiments ni des passions, nous n’avons pas à entreprendre des études qui sortiraient de notre domaine et qui ont été brillamment exposées dans d'autres volumes de cette collection, nous n’avons qu’à constater un résultat : l’idée de probabilité existe toujours avec la connaissance.
Le degré ultime de la connaissance serait la certitude, c’est une limite dont on peut approcher sans jamais l’atteindre, les mathématiques elles- mêmes ne sont pas absolument certaines) en toute rigueur, la certitude n’existe pas.
Si le sentiment de probabilité domine tous nos actes, pourquoi le calcul des probabilités est-il venu si tard dans la science ? Pour deux raisons que l’on peut facilement concevoir.• Les notions d’espace et de mouvement nous semblent imposées par nos sens, la notion de probabilité ne correspond à rien qui soit visible ni tangible ; je suis peut-être le seul qui ait essayé, non pas précisément, de voir la probabilité, mais du moins d’assimiler dans certains cas ses transformations à quelques phénomènes physiques ; encore ces phénomènes ne présentaient-ils rien de réellement visible, on peut seulement les concevoir.
L'absence de toute manifestation extérieure et même de toute image réellement claire a retardé ‘ la naissance du calcul des probabilités. Une autre cause, ayant d’ailleurs un peu la même origine, a ; également contribué à ce résultat :
L’idée de- probabilité semble en contradiction complète avec l'idée essentielle de la science exacte.
La science exacte recherche l'absolu, son principe parait être l’antithèse de l’idée de probabilité. L’expression même de calcul des probabilités semble impliquer une contradiction entre ses termes, comme aussi l’expression analogue de : lois du hasard.II a fallu un bel effort pour oser appliquer le calcul qui est la précision même à une question qui par sa nature, lui semble tout à fait rebelle.
Huyghens, le premier qui écrivit un traité sur le sujet, ne dissimula pas son enthousiasme : « Rien n’est plus glorieux, dit-il, que de pouvoir donner des règles à des choses qui, étant dépendantes du hasard, semblent n’en reconnaître aucune et par là se soustraire à la raison humaine ». Cette phrase a été reproduite bien souvent, elle donne une idée de l’intérêt qui s’attache à la recherche des lois du hasard.
Les raisons qui ont retardé la naissance du calcul des probabilités auront d’autres conséquences : certains esprits même très fins, demeureront rebelles à ce calcul, d’autres ne pourront que péniblement se l’assimiler, sa vulgarisation sera toujours très difficile et ses principes seront peut-être toujours incompris du grand nombre. Pour d’autres esprits, au contraire, pour ceux qui ont une tendance vers la méditation, pour ceux qui apprécient les études philosophiques comme les études rationnelles, pour ceux enfin qui savent comprendre, à côté de la beauté d’une loi générale, les finesses d'une analyse subtile et délicate frôlant parfois le paradoxe, pour ceux-là la théorie des hasards présentera un attrait et un charme tout particuliers.
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Vous l'aurez compris, les ...... = ici cela me gave, de lire toute cette partie. donc j'abrège aussi les souffrances inutile, aux autres lecteur.
Ben voilà, en fait du livre de 1914, ici cela tchatch beaucoup pour plus parler sur oui sur le hasard, la probabilité etc... mais rien de concret sur le reste.
Ainsi je vous met encore cette seconde partie, et après je vais une fois lire en premier lieu le livre de 1713.
LA PROBABILITÉOn appelle probabilité d’un événement le rapport du nombre des cas favorables à l’arrivée de cet événement au nombre total des cas possibles.
La probabilité d’amener le point 4, par exemple, avec un dé est 1/6 parce que 6 cas peuvent se présenter quand le dé est jeté sur le tapis et qu’un seul est favorable à l’arrivée du point 4.
La probabilité de retourner un roi sur un jeu de 32 cartes est 1/8 : il y a en effet 32 cas possibles et 4 favorables ; la probabilité est donc 4/32=1/8.
Si une urne contient une boule blanche et deux boules noires, la probabilité de tirer une boule blanche est 1/-3, la probabilité de tirer une boule noire est 2/3.
Si l’on jette deux fois de suite une pièce de monnaie, la probabilité pour obtenir une fois pile et une fois face est 1/2. En effet, 4 cas sont possibles : on peut amener pile deux fois ou face deux fois, ou pile au premier jet et face au second ou face au premier jet et pile au second. Ces deux derniers cas sont favorables, la probabilité est donc 2/4 ou 1/2.
La définition de la probabilité suppose toujours que les cas sont également vraisemblables.
Dans le premier exemple donné ci-dessus il faudrait se garder de dire : « Le dé peut montrer le point 4 ou il peut montrer un autre point ; il y a donc deux cas possibles dont un favorable : la probabilité est 1/2. Les deux cas possibles ne sont pas également vraisemblables.
Dans le quatrième exemple, il ne faudrait pas dire non plus : on peut amener pile deux fois, ou face deux fois ou pile une fois et face une fois, il y a trois cas possibles et un favorable, la probabilité est 1/3. Les trois cas possibles ne sont pas également vraisemblables.
Au point de vue mathématique : la division en cas d'égale vraisemblance constitue une donnée du problème étudié.
Les conséquences que le calcul des probabilités déduit de ces données sont mathématiquement, exactes.On jette au hasard une pièce de monnaie, nous admettons qu’il y a autant de chances pour amener face que pile, c’est une donnée du problème.
Cette donnée une fois admise, la probabilité pour obtenir face deux fois de suite est ¼ ; ce résultat est mathématiquement exact, au même titre que deux et deux font quatre.
La probabilité pour obtenir en trois jets deux fois pile et une fois face est 3/8, c’est une conséquence absolument nécessaire des données.
Si l’on veut tenter l’expérience et si les données ne sont pas exactes il ne faudra pas incriminer le calcul des probabilités dont les résultats paraîtront erronés ; le calcul ne fait que traduire fidèlement les hypothèses. Si la pièce est dissymétrique ou si celui qui la lance sait favoriser l’arrivée du côté qu’il désire, il est évident que le calcul ne peut le prévoir.
Cette remarque paraîtrait naïve s’il s’agissait de toute autre question de mathématiques, on sait fort bien qu’il n’y a dans un calcul que ce qu’on y a mis. Lorsqu’il s’agit de probabilités, l’imprécision du sujet peut faire perdre de vue cette vérité élémentaire.
Une conséquence immédiate de la définition de la probabilité est que cette quantité est toujours comprise entre zéro et un, la dernière valeur correspond à la certitude, la première à l’impossibilité.
Autres conséquences immédiates : la somme des probabilités de tous les cas possibles est égale à un.
Si l’on désigne par la lettre p la probabilité d’un événement, la probabilité de sa non-arrivée (ou, comme on dit, de l’événement contraire), est 1— p.
Dans le langage ordinaire, on emploie souvent le mot chance au lieu du mot probabilité, ainsi on dit qu’un événement a neuf chances sur dix de se produire pour exprimer que sa probabilité est 0,9.
Au début du calcul des probabilités on employait le mot chances et aussi le mot hasards. On désignait la probabilité, même dans les formules algébriques, par une fraction dont le numérateur représentait le nombre des chances favorables et le dénominateur le nombre total des chances. Aujourd’hui, dans la plupart des formules, on désigne la probabilité par une seule lettre…
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Mais je vous prévient de suite, avant que vous commenciez à le lire, si vous avez rigolez avec les phrases utiliser dans le film avec jean Reno, et son fidèle compagnon Jacouille la fripouille, veuillez m’en excusez au préalable, non ma réponse sera définitivement non, je ne changerais jamais les phrases écrites soit des fautes d'ortographe, écrit dans un livre par son Auteur, donc repassé dans l’ère royale ou monarchique, et essayer de comprendre l’ancienne langue Française, que nos ancêtre qui était nobles, on parlé, et on appris à écrire, à travers les écoles dans les monastères. Chez moi, dans ma localité, malgré que on énumère dans l’histoire, que Charlemagne à inventé l’école, n’es ce pas. Sauf que dans ma localité, jusqu’en 1830, les ouvriers et les fermiers, eux était complètement illettré. Et cela en 1870, ou 80% des ouvriers, et des fermiers, savait signé de leurs propres noms en remplacement des « x » les documents. Vien cela étant dit, bonne lecture.
PREFACE
IL y a longtemps que les Géomètres se vantent de pouvoir par leurs méthodes découvrir dans les Sciences naturelles, toutes les vérités qui sont à la portée de l'esprit humain ; & il est certain que par le merveilleux alliage qu’ils ont fait depuis cinquante ans de la Géométrie avec la Physique, ils ont forcé les hommes à reconnoître que ce qu’ils disent à l’avantage de la Géométrie n’est pas sans fondement. Quelle gloire seroit-ce pour cette Science si elle pouvoit encore servir à règler les jugemens & la conduite des hommes dans la pratique des choses de la vie: L’aîné de Messieurs Bernoulli si connus l'un & l’autre dans le monde sçavant, n’a pas cru qu’il fut impossible de porter la Géométrie jusqu’à ce point, il avoit entrepris de donner des Regles pour juger de la probabilité des évenemens futurs, & dont la connoissance nous est cachée, (soit dans les Jeux, soit dans les autres choses de la vie où le hazard seul a part. Le titre de cet Ouvrage dévoit être De arte conjectandi, l’arc de deviner. Une mort prématurée ne lui a pas permis d’y mettre sa dernière main.
Monsieur de Fontenelle & Monsieur Saurin ont donné chacun une courte Analyse de ce» Livre ; Année-1705 page 148, ] premier dans l’Histoire de l’Academie l’autre Année 1706 page 81, dans les Journaux des Sçavans de France. Voici, page Si. Selon ces deux Auteurs, quel étoit le plan de cet Ouvrage. M. Bernoulli le divisoit en quatre Parties ; dans les trois premières il donnoit la solution de divers Problèmes sur les Jeux de hazard on devoit y trouver plusieurs choses nouvelles sur les suites infinies, fur les combinaisons & les changemens d’ordre, avec la solution des cinq Pro¬blèmes proposés depuis longtemps aux Géomètres par M.Hugens. Dans la quatrième Partie, if employoit les methodes qu’il avoit données dans les trois premières, à résoudre diverses questions morales, politiques&-civiles.
Oh ne nous a point appris quels sont les Jeux dont cet Auteur déterminoit les partis, ni quels sujets de politique & de morale il avoir entrepris d’éclaircir mais quelque surprenant que soit ce projet, il y a lieu de croire que ce sçavans Auteur j’auroit parfaitement executé. M. Bernoulli étoit trop superieur aux autres pour vouloir en imposer, il étoit de ce petit nombre d’hommes rares qui sont propres à inventer, & je me persuade qu’il auroit tenu tout ce que promettoir le titre de son Livre.Rien ne retarde plus l’avancement des Scien¬ces, & ne met un plus grand obstacle à la décou¬verte des vérités cachées, que la défiance où nous sommes de nos forces. La plupart des choses qui paroissent impossibles ne le (ont que faute de don¬ner à l’esprit humain toute l’étendue qu’il- peut avoir.
Plusieurs de mes Amis m’avoient excité, il y a déjà longtemps, à essayer si l’AIgebre ne pourroit point atteindre à déterminer quel est l’avantage du Banquier dans le Jeu du Pharaon. Je n’avois jamais osé entreprendre cette recherche, car je sçavois que le nombre de tous les divers arrangemens possibles de cinquante-deux cartes, sur- passe plus de cent mille millions de fois celui des grains de sable que pourroit contenir le globe de la terre ; & il ne me paroissoit pas possible de démêler, dans un nombre si vaste, les arrangemens qui sont avantageux au Banquier, d’avec ceux qui lui sont contraires ou indifferens. Je serois encore dans ce préjugé si les succès de feu M. Bernoulli ne m’eussent invité il y a quel¬ques années a chercher les differens hazards de ce Jeu. Je sus plus heureux que je n’avois osé esperer, car outre la solution generale de ce Pro¬blème, j’apperçus les routes qu'il falloir tenir pour en découvrir une infinité de pareils, ou même de beaucoup plus difficiles. Je connus qu’on pouvoir aller fort loin dans ce pays où personne n’avoit encore été ; je me flattai qu’on pouvoit y faire une ample recolte de vérités également curieuses & nouvelles : cela me donna la pensée de travailler à fond sur cette matiere, & le desir de dédommager en quelque forte ,le Public de la perte qu’il seroit s’il étoit privé de l’excellent Ouvrage de M. Bernoulli. Diverses reflexions m’ont confirmé dans ce dessein.
C'est particulièrement dans les Jeux de hazard que paroit la foiblesse de l’esprit humain & la pente qu’il a à la superstition. Rien n’est si ordi¬naire que de voir des Joueurs attribuer leur mal¬heur aux personnes qui les approchent, & à d’au¬tres circonstances qui ne sont pas moins indiffé-rentes aux évenemens du jeu. Il y en a qui se font une loi de ne prendre que des cartes qui gagnent, dans la pensée qu’un certain bonheur leur est ar¬raché. D’autres au contraire s’attachent à prendre les cartes perdantes, dans l’opinion qu'ayant plu¬sieurs fois perdu, il est moins vrai-semblable quelles perdront encore» comme si le passé pou¬voit décider quelque chose pour l’avenir. Il y en a qui affectent certaines places & certains jours. On envoie qui refusent de mêler les cartes ,si ce n’est dans certaines situations, & qui croiroient perdre infailliblement s’ils s’étoient en cela écartez de leurs regles. Enfin la plupart cherchent leurs avantages où ils ne sont pas, ou bien ils les négligent entierement.
On peut dire à peu près la même chose de la conduite des hommes dans toutes les actions de la vie où le hazard a quelque part. Ce sont les mêmes préjugés qui les gouvernent, c’est l’ima¬gination qui regle leurs démarches, & qui fait naître aveuglément leurs craintes & leurs esperances.
Souvent ils abandonnent un petit bien certain pour courir temerairement après un plus grand bien, dont l’acquifition est comme impossible & souvent par trop de défiance ils renon¬cent à des esperances considerables & bien fon¬dées pour se conserver un bien dont la valeur n’a point de proportion avec celui qu’ils négli¬gent. Le principe général de ces préjuges & de ces erreurs est que la plupart des hommes attri¬buant la distribution des biens & des maux, & generalement tous les évenemens de ce monde a une puissance fatale qui agit sans ordre & sans regle , ils croyent qu’il vaut autant s’abandonner à cette Divinité aveugle, qu’on nomme Fortune, que de la forcer à leur être favorable en suivant des règles de prudence qui leur paroissent imagi¬naires.
J’ai donc cru qu’il seroit utile, non feulement aux Joueurs, mais aux hommes en général, de sçavoir que le hazard a des regles qui peuvent être connues, & que faute de connoître ces regles ils font tous les jours des fautes, dont les fuites- facheuses leur doivent être imputées avec plus de raison qu’au destin qu’ils accusent. Je pourvois rapporter en preuve une infinité d’exemples tirés ou des Jeux, ou des autres choses de la vie dont….
pour aujourd'hui c'est tout! bonne soirée.
Oui, je sais bien, j'avais prévue d'uniquement reprendre demain, et 00h et quelques minutes, oui cela fait déjà parti de demain.
Et pour rassurer nos Admin de ce forum.
Œuvres passer dans le domaine public art. loi n°78-753 du 17 Juillet 1978.
Et bien sûr, comme c'est mentionné, je mentionnerais la source du Livre, donc aucun plagia, ni rien d'autre ne me donnant pas le droit de publier dans le forum les écrits de l'auteur de 1713. Mais ici il faudra tout de même me dépêcher, en raison comme actuellement Amazon, est entrain de recueillir beaucoup d'ancien livre, pour avoir des nouveaux livres à revendre.
Et plus tard, vous pourrez aussi lire, que l'auteur mentionne, que ce livre est la seconde édition. Donc beaucoup plus complète par rapport à l'édition primaire du livre, ce que je nommerais Tome I et Tome II.
C'est pour cette raison, que l'auteur avait mentionné 1705 et 1706, si vous vous en rappelez, donc cela doit appartenir au Tome I, lorsqu'il était sortie. parce que il me paraissait bizarre, que il parle d'une publicité faite dans les années précédentes, avant la publication, ou l'impression du livre qui lui était paru en 1713. Parce que 7 et 8 années entre la mention dans les fameux journaux et du livre, et la sortie du livre de l'auteur. Ici l'imprimeur aurait eu un large temps pour sirotté plusieurs café, avant de continuer à placé une nouvelle lettre à imprimer, vous ne croyez pas?
Et ici j'ai découvert quelques choses sur Blaise Pascal. Notre fameux inventeur de la roulette.
Combinaisons, es ce que cela à un rapport, avec les combinaisons possible suivant les chances que l'on joue à la Roulette?Table de M. Pascal pour les combinaisons.
Bien commençons donc, comme cela je vous laisse réfléchir longuement, puisque ici j'ai avancé d'une quarantaine de page, donc oui vous aurez largement le temps d'y réfléchir avant que j'arrive à cette partie.
https://ibb.co/Tv1j43C
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Re bonjour, après réflexion, et après avoir vue et lu quelques lignes supplémentaire, à ma question, si Blaise pascal, avait créer cette table, spéciale pour la roulette, la réponse est non. Elle fonctionne autant avec les dès, que les jeux de cartes que la roulette. Le nombre de combinaison = nombre de possibilité, ou serons à chaque fois à supprimer les combinaisons illogique, du côté opposé, soit ceux qui ne pourrons pas sortir. A la roulette, le fait de jouer coups par coups, réduit déjà son nombre de combinaison, déjà en attendant la sortie d'un coups, pour les coups d'après, on réduit déjà de moitié la possibilité, telle Rouge est sortie, il reste ainsi que les combinaisons possible pour le second coups de sortie, ou première boule sortie entre Noir et Rouge on été éliminer. Donc es ce que il y'aura une seconde rouge à la suite, ou es ce que sortira un numéro noir?
Moi je me rappelle dans le temps, au PMU, il y avait un parie qui existait, pour toujours trouver le gagnant suivant, ou a chaque parie gagné, le gain de la course, se reportait sur le gain suivant. soit 1er parie 1,5€ x 2,7€ etc...
et si on gagnait toutes les 5 courses, ou toutes les courses du jour, c'était un jolie pactole que l'on ramassait. Ainsi ici avec les combinaisons, c'est du pareil au même, sauf pour les courses de chevaux, ici il aurais fallu avoir des chances identique de 1/2 ainsi aussi des mises et des gains identiques suivant le nombre de chevaux, d'avoir 3 chances sur 6, pour gagné le gagnant sur 6 chevaux etc... ou laisser courir 2 chevaux par courses. Ou un autre exemple, ici la FDJ, pour le loto, devrait laisser gagnant 24 numéro sur 49, ou au keno 35 numéro sur 70. Mais avec 5 numéros ou 10 numéros qui sorte à la suite, et ici au jeu de la roulette 1 unique chance sur 2 peut sortir, pour le rendre identique, il faudrait déjà jouer sur les sixains, et misé ainsi pour gagner chaque sixain à la suite pour qu'il sort gagnant.