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LE TRIANGLE DE PASCAL : Une escroquerie ?

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(@azgj2)
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Je parlais du temps LINEAIRE.

rappelles toi le facteur humain (facteur primordial de réussite).
La façon d'être face au jeu est primordiale.
Quand on perd et quand on gagne.

La notion d'équilibre prend là toute sa dimension.

Juste 1 ou 2 remarques tirées de la poursuite de mes recherches :

Lezero, je ne suis pas en contradiction avec toi quand tu parles de l'attitude du joueur face au jeu. Je m'en suis déjà expliqué longuement par le passé.

Pour l'équilibre, nous sommes aussi d'accord. Je vais même plus loin, il me semble qu'il y a un certain équilibre dans la manière dont les chances sortent au cours du temps.

Par contre, le temps n'est pas linéaire. Parfois, il accélère, parfois il ralentit, il est élastique. Et là, se trouvent aussi de belles opportunités de jeu. Cela m'est apparu clairement en prenant d'autres figures géométriques. Fais le test, tu verras. La figure géométrique n'est, en définitive, que l'équivalant d'un système de notation tout comme les bases 10 et 60 dans nos systèmes de comptage. Se focaliser sur une seule figure fait passer à côté d'autres phénomèmes. L'évolution du temps, en ce qui nous concerne, semble également liée à une très jolie série numérique dont les principaux nombres sont racine de 2, racine de 3, phi et pi.

A creuser.


   
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(@lezero)
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A mon sens le temps linéaire est une droite. Si on se focalise sur la première distance parcourue elle relie un point A vers B.
C'est cet instant qu'il faut esseuler et étudier.
En groupant les indices rassemblés, on aura une meilleure lecture de l'ensemble DES temps.
Je ne peux pas te contredire quand tu dis que le temps est élastique (il accélère, il ralentit).
Mais,

Si l'on compare le temps cylique au linéaire, on constate une répétition d'évènements, sur lesquels on peut s'interroger. Et même établir des comparatifs.
Exemple : La répétition des saisons (4 cycles, qui ne finiseent pas de se répéter depuis la nuit des temps)
Je pense que le futur est déjà dans le présent à l’état de germe.
Le décodage du temps, permet effectivement de belles opportunités de jeu à la roulette.

Cela m'est apparu clairement en prenant d'autres figures géométriques. Fais le test, tu verras.

Qu'entends-tu par figures géométriques ?


   
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(@azgj2)
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Qu'entends-tu par figures géométriques ?

Le triangle de Pascal en est un exemple parmi tant d'autres.


   
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(@rambo)
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c'est aussi compliquer que l'espace temps


   
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(@azgj2)
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c'est aussi compliquer que l'espace temps

Ah oui alors ! Tu n'imagines pas l'horrible complexité que c'est Et il faut prendre garde de ne pas tomber dans un trou noir


   
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(@lezero)
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Début du sujet  

Le triangle de Pascal en est un exemple parmi tant d'autres.

Compris je voulais en être sur.


   
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(@lezero)
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Se focaliser sur une seule figure fait passer à côté d'autres phénomèmes. L'évolution du temps, en ce qui nous concerne, semble également liée à une très jolie série numérique dont les principaux nombres sont racine de 2, racine de 3, phi et pi.

Tu as une autre approche que la mienne.
Les "autres figures géométriques" ont été épuisées (la porte reste toujours ouvertes pour d'autres pistes) avant d'installer mes recherches définitivement dans et sur le triangle.


   
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(@azgj2)
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Se focaliser sur une seule figure fait passer à côté d'autres phénomèmes. L'évolution du temps, en ce qui nous concerne, semble également liée à une très jolie série numérique dont les principaux nombres sont racine de 2, racine de 3, phi et pi.

Tu as une autre approche que la mienne.
Les "autres figures géométriques" ont été épuisées (la porte reste toujours ouvertes pour d'autres pistes) avant d'installer mes recherches définitivement dans et sur le triangle.

Après tout, qu'importent les "techniques" d'approche si c'est le même phénomène qui, en définitive, est mis en évidence. C'est une question d'affinité personnelle. Moi, je me sens tout à fait à l'aise avec une vue géométrico-algébrique. Mais ce n'est pas la seule possible évidemment. A terme, s'il y a aboutissement, il peut être intéressant de comparer les conclusions.


   
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(@lezero)
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Début du sujet  

Après tout, qu'importent les "techniques" d'approche si c'est le même phénomène qui, en définitive, est mis en évidence. C'est une question d'affinité personnelle. Moi, je me sens tout à fait à l'aise avec une vue géométrico-algébrique. Mais ce n'est pas la seule possible évidemment. A terme, s'il y a aboutissement, il peut être intéressant de comparer les conclusions.

Tu as raison.

As-tu une piste de réflexion concernant "la fiabilité" d'un système ?
Je suis toujours au stade des tests. Il faut dire que je découvre toujours de nouvelles choses (possibilité d'étendre le jeu sur Sizains, pleins, transversales simples et même couleur).

Je ne te caches pas que dans l'impatience, j'ai fais 2 incursions gagnantes dans un casino. (budget triplé voire plus, en 1h).

J'ai toujours peur de la chute.

Sur 200 parties testées 2 sont "perdantes" les candidats ne sortent pas dans les 12 coups. (je sais que c'est trés peu de tests, mais je préfère cette manière, à celle d'un programme, pour l'instant...)

En d'autres termes, quand faut il clôturer le dossier et passer à l'étape supérieure (jeu continu en réel) ?

Jamais ? me dirais-tu ?


   
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(@azgj2)
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Oui, lezero,

Il y a des pistes pour la fiabilité d'un système. Je n'ai pas le temps maintenant (dans un 1/4h j'ai ma réunion dominicale sur le Forex) et il y a plusieurs aspects à aborder. Je t'apporterai des éléments de réponse soit tard ce soir soit demain.


   
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(@lezero)
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Merci Azgj2.


   
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(@azgj2)
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Lezero,

Avant de répondre plus longuement à ta question (et je risque de devoir le faire en plusieurs épisodes), il faut préalablement poser quelques préalables afin que chacun comprenne bien de la même façon ce qui se dit. J'utiliserai parfois les termes de méthode, système et stratégie.

Par méthode, j'entends un ensemble de règles formelles qui permettent sans ambiguïté et sans hésiter de déterminer ce qu'il faut jouer et quand il faut jouer. Autrement dit, sur une même permanence, avec ces règles des joueurs différents doivent aboutir aux mêmes conclusions. Il ne doit donc pas y avoir d'interprétation personnelle possible. Afin de comparer plus facilement des méthodes entre elles, il convient de les appliquer à masse égale.

Par système, j'entends un ensemble de règles formelles de gestion financière. La remarque précédente sur la non-ambiguïté des règles s'applique

Par stratégie, j'entends en plus toutes les règles de comportement psychologique du joueur.

On est libre bien sûr de compléter ces définitions ou d'en adopter d'autres, mais il faut se mettre d'accord préalablement.

Dans la suite, je ne parlerai que de méthodes. En effet, on sait que les gestions financières ne sont pas la solution. Avec une méthode perdante, elles peuvent au mieux retarder l'échéance de la ruine. Par contre, avec des méthodes gagnantes, une gestion fiancière peut produire une croissance géométrique des profits. Et dans ce sens, il existe une gestion financière optimale. On peut le démontrer mathématiquement. Je n'aborderai pas les aspetcs psychologiques. C'est à chacun de se connaître et de reconnaître honnêtement s'il a ou peut acquérir les capacités nécessaires (discipline, rigueur, constance, patience, ...).

Voilà comme premier préalable.

Il y en a un deuxième, tout aussi important à mon sens, à propos des méthodes.

Une méthode provient, en général, de l'observation du comportement de la roulette. En tout cas, je crois qu'il doit en être ainsi sinon comment justifier la méthode. L'observation de ce comportement permet d'établir un modèle de comportement et c'est de ce modèle, en fait, que découle la méthode. Un modèle doit pouvoir ainsi expliquer le passé d'une permanence et faire des prédictions sur le futur de la permanence. C'est ce qui va permettre de confronter la méthode à la réalité. Etant donné la complexité de la réalité, ce modèle ne peut en considérer que certains aspects. En effet, si le modèle était capable d'appréhenter toute la réalité dans ses détails les plus infimes, la méthode correspondante devrait pouvoir prédire correctement tous les coups futurs. Manifestement, et je crois que personne ne me contredira, ce n'est pas le cas. Donc le modèle n'est pas complet et, de toute façon, on ne peut pas prouver formellement qu'un modèle reprend bien une réalité. Tout ce qu'on peut dire c'est : voici mon modèle, voici comment il explique le passé, voici les prédictions qu'il fait. Et s'il y a des cas où la méthode ne marche pas, et bien il faut l'accepter et rechercher un meilleur modèle.

Il y a un troisième préalable.

Si on peut mettre en évidence un modèle de comportement de la roulette, on pourrait être tenté de dire qu'il doit dès lors forcément y avoir une méthode gagnante pour chaque type de chance. Ce n'est pas si sûr que cela et, personnellement, je suis convaincu que cela ne peut pas être le cas. En ce sens, je rejoins totalement des dires de Cessna et Lezero. Un contre-exemple élémentaire permet de le montrer aisément. Supposons qu'on ait une méthode qui permette, pour chaque coup, de prédire 2 numéros et que certaines chances correspondant à ces 2 numéros sortent correctement à chaque tirage, mais pas forcément ces 2 numéros. On serait tenté de dire qu'à cela ne tienne, pour réduire les risques, je vais me concentrer sur les chances simples associées à ces 2 numéros. Dans ce cas, que choisit-on comme chances simples quand la méthode sort des couples de numéros tels 11 et 32 par exemple ?

J'arrête ici pour les préalables. On voit suffisamment que ce n'est pas aussi facile et évident qu'il y paraît.

La question est donc : comment tester si une méthode est fiable ?

Tout d'abord, il n'y a rien de tel que la réalité pour confronter une méthode. C'est le seul type de tests valable.

La réalité se présente sous 2 formes différentes :
- des permanences réelles existantes
- le jeu en temps réel (attention, j'exclus ici toute roulette sur base de générateurs pseudo-aléatoires).

Dans le premier cas, on peut disposer d'autant de permanences qu'on veut et on peut informatiser les tests. Il n'y a aucun problème tant que les tests sont faits honnêtement, d'où l'importance des contraintes citées plus haut sur les règles d'une méthode. En effet, il n'est pas question que les décisions soient biaisées par la connaissance que l'on a de l'évolution de la permanence à partir du point de référence pris pour faire les tests. De toute façon, quel avantage y aurait-il à se mentir à soi-même ?

Dans le deuxième cas, comment s'assurer pendant la durée des tests de toute l'objectivité et impartialité nécessaire (c'est tout le côté psychologique cité plus haut) ? Personnellement, pour mes méthodes boursières, j'ai adopté le principe suivant. Quand j'étais suffisamment convaincu d'une méthode et qu'il était temps de la confronter à la dure réalité, j'ai déterminé un budget que j'acceptais sans regret de perdre pour pouvoir mener les tests nécessaires.

La confrontation à la réalité est indispensable. Comme je l'ai déjà dit, un modèle doit être explicatif et prédictif. Mais il doit aussi être vérifiable et surtout falsifiable. Attention, falsifiable veut dire ici qu'on doit essayer de trouver des contre-exemples qui invalident le modèle. Il n'y a rien de plus efficace que d'essayer de démolir un modèle plutôt que d'essayer de le défendre vaille que vaille.

Partant de là, quand peut-on dire ou mesurer qu'une méthode est bonne ? Souvent une analyse critique de la logique du modèle permet de dire si le modèle peut être bon ou pas. Attention, c'est un exercice intellectuel pas aussi facile qu'on croit quand on n'y est pas habitué.

Il existe ensuite des mesures de type statistique, donc forcément entâchées d'une incertitude quand aux conclusions.

La première approche, pour dégrossir le sujet, consiste à prendre un certain nombre de tests et de calculer les résultats (% de réussite, % d'échecs, gain moyen, perte moyenne, ...). On peut répéter ce processus pour un grand nombre d'échantillons et voir si les résultats sont suffisamment stables parmi ces échantillons. Si c'est le cas, on peut dire que le bénéfice moyen sera une assez bonne approximation de l'expérance mathématique de gain. Si ce bénéfice moyen est positif, alors on peut déduire qu'on a probablement une bonne méthode. Ces mesures doivent être poursuivies en jeu réel et la conclusion restera identique aussi longtemps qu'il y a cette stabilité.

Mais il est tard, suite donc au prochain numéro ...


   
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(@lezero)
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Belle conférence de qualité.
BRAVO !!

La première approche, pour dégrossir le sujet, consiste à prendre un certain nombre de tests et de calculer les résultats (% de réussite, % d'échecs, gain moyen, perte moyenne, ...). On peut répéter ce processus pour un grand nombre d'échantillons et voir si les résultats sont suffisamment stables parmi ces échantillons.

Peux-tu être plus précis (s'il y'à lieu) au niveau du nombre de tests à effectuer ?

Je fais une corrélation avec les sondages.
Cela équivaut-il au nombre de personnes interrogés? Quel est ce nombre (il varie trés certainement en fonction de la population)?

Ne crois-tu pas également qu'il faut varier les permanences (en provenance de casinos Allemand, Français, Bulgares etc...) et ce, afin que l'échantillon soit le plus varié possible (Pour rappel : le concept de "divers flux" engendrés par des roulettes différentes, avancé par Patrick)


   
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(@lezero)
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Mon cher Azgj2, au risque d'abuser de ton temps.
Est ce que je pourrais te demander un petit service :

Prendre un papier blanc et un crayon et noter 36 N° (de 0 à 36, tu peux répéter les N°) qui te viennent à l'esprit, SANS REFLECHIR... (je compte sur toi pour jouer le jeu )

Est ce que tu peux me communiquer les 24 premiers N° ?
Je voudrais effectuer un petit test.
Merci.


   
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(@azgj2)
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Belle conférence de qualité.
BRAVO !!

La première approche, pour dégrossir le sujet, consiste à prendre un certain nombre de tests et de calculer les résultats (% de réussite, % d'échecs, gain moyen, perte moyenne, ...). On peut répéter ce processus pour un grand nombre d'échantillons et voir si les résultats sont suffisamment stables parmi ces échantillons.

Peux-tu être plus précis (s'il y'à lieu) au niveau du nombre de tests à effectuer ?

Je fais une corrélation avec les sondages.
Cela équivaut-il au nombre de personnes interrogés? Quel est ce nombre (il varie trés certainement en fonction de la population)?

Ne crois-tu pas également qu'il faut varier les permanences (en provenance de casinos Allemand, Français, Bulgares etc...) et ce, afin que l'échantillon soit le plus varié possible (Pour rappel : le concept de "divers flux" engendrés par des roulettes différentes, avancé par Patrick)

Tout cela sera abordé dans la suite. Un peu de patience. J'avais prévenu que ce serait peut-être un peu long


   
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