Bonsoir à toutes et à tous,
merci mezig de cette précision.
Donc, le point d'origine (ne pas confondre avec le point de départ du comptage de l'écart) est la grande inconnue. De ce fait, comme je l'ai indiqué ci-dessus, nous nous retrouvons aussi bien dans un grand écart que nous devons exploité car tôt ou tard, il y aura un retour à l'équilibre (passage par le point d'origine), ou bien, cet écart correctif à déjà eu lieu, et non ne le savons pas.
Donc comment faire pour identifier ce point d'origine ?
Je sais très bien que nous ne pouvons pas calculer ce point d'origine. Mais comment le mettre en évidence ?
@+
houlàlà Artemus tu compliques tout...
Quand quelqu'un te répond tu fais souvent une réponse si compliquée que l'on se demande si tu as bien lu la réponse...
Donc comment faire pour identifier ce point d'origine ?
Je disais juste que le point d'origine est le début du relevé des n°, il ne peut pas y en avoir d'autres à moins de remonter aux années 1650(?)...
ps.Tant que j'y suis, si 6xracines d'écart représentent le point de départ du déréglage de la roulette c'est peut-être pas mal de jouer vers 4 ou 5 sinon les soirées risquent d'être longues ...
Bonsoir à toutes et à tous,
merci mezig de cette précision.
Donc, le point d'origine (ne pas confondre avec le point de départ du comptage de l'écart) est la grande inconnue. De ce fait, comme je l'ai indiqué ci-dessus, nous nous retrouvons aussi bien dans un grand écart que nous devons exploité car tôt ou tard, il y aura un retour à l'équilibre (passage par le point d'origine), ou bien, cet écart correctif à déjà eu lieu, et non ne le savons pas.
Donc comment faire pour identifier ce point d'origine ?
Je sais très bien que nous ne pouvons pas calculer ce point d'origine. Mais comment le mettre en évidence ?
@+
Le problème c'est que, comme dit plus haut, tu ne sembles pas lire ce qu'on t'explique, ou tout du moins tu ne sembles pas t'y attarder. Donc pardonne-moi mais tes questions n'ont que peu de sens.
Le point d'origine, on s'en moque, il ne sert à pas grand chose. Tu dois t'en convaincre.
Bonsoir à toutes et à tous,
@ BleuAzur : détrompe toi. Je lis bien tout les messages mais là où tu ne vois rien d'intéressant, je me pose des questions sans bien savoir si ce que je recherche est une chimère ou pas.
@ Mezig : je ne complique rien, j'essaye de comprendre ! Car si j'avais tout compris de cette méthode, je ne poserai pas des questions aussi futiles soient-elles.
@ tous : si le point d'origine est une ineptie de ma part, alors la méthode doit être suffisante pour produire un sérieux avantage lors d'un énorme écart et ce, dans tous les cas. Ce que je ne comprends pas, c'est cette double convergence ?
La première idée est de vouloir croire que si un énorme écart existe entre deux couleurs, tôt ou tard, la couleur retardataire va rattraper cette différence. Cette idée exprime le retour à l'équilibre qui a bien été démontré comme un cas particulier et non le cas général sur la loi des écarts.
La deuxième idée, si je l'ai bien comprise, concerne les agglomérations. Ce sont des figures basées sur les séries. Encore une fausse idée de croire que si une figure a été constaté de part le passé alors elle va se reproduire pendant un certain temps. J'aimerai savoir sur quoi tu te bases pour affirmer cela ?
L'idée sous-jacente concerne les notions d'équilibre et de déséquilibre. Que tu appliques cela sur l'écart entre deux couleurs, ou encore sur les séries, tu ne peux jamais prévoir à quel moment une série commence ou se termine.
@+
@ BleuAzur : détrompe toi. Je lis bien tout les messages mais là où tu ne vois rien d'intéressant, je me pose des questions sans bien savoir si ce que je recherche est une chimère ou pas.
@+
A force de te poser trop de questions, tu finis peut-être par passer à côté de l'essentiel tu crois pas ?
La première idée est de vouloir croire que si un énorme écart existe entre deux couleurs, tôt ou tard, la couleur retardataire va rattraper cette différence. Cette idée exprime le retour à l'équilibre qui a bien été démontré comme un cas particulier et non le cas général sur la loi des écarts.
@+
Eh bien tu vois tu as mal lu...mais relis bien le titre du topic et tu comprendras en partie ton erreur (Varenne a été précis pourtant...)
La deuxième idée, si je l'ai bien comprise, concerne les agglomérations. Ce sont des figures basées sur les séries. Encore une fausse idée de croire que si une figure a été constaté de part le passé alors elle va se reproduire pendant un certain temps. J'aimerai savoir sur quoi tu te bases pour affirmer cela ?
@+
Bon là vraiment navré mais tu as absolument rien compris. Si tu as des questions (concises...) je t'explique volontiers ce point.
L'idée sous-jacente concerne les notions d'équilibre et de déséquilibre. Que tu appliques cela sur l'écart entre deux couleurs, ou encore sur les séries, tu ne peux jamais prévoir à quel moment une série commence ou se termine.
@+
Il faut que tu relises le passage où je parle de l'étude simultanée de 2 phénomènes indépendants...
Bonsoir à toutes et à tous,
lorsque j'ai abordé les groupes de 18 numéros, personne n'est venu me contredire. Dans son exposé, (voir l'image donnée par Varenne de son exemple) de la compensation partielle, Varenne recherche de nouveaux groupes de 18 numéros. L'idée en ce point de mon exposé, était de construire deux groupes composés des numéros sortis et des numéros non sortis sur une plage glissante afin d'obtenir l'écart le plus important. Je n'ai jamais dit que la composition de ces deux groupes était une finalité en soit, mais le début d'un signal d'attaque. Varenne donne les explications à ce sujet et il n'y a aucune ambiguïté. Il précise que Marigny recherchait une méthode pour obtenir un gain à masse égale, joué après ce qu'il croit être un signal donnant une configuration (agglomération ou figure) reproductible.
Mais rien n'indique que la configuration va toujours produire les mêmes conséquences, pour la simple raison que chaque boule est indépendante des autres boules. Je pense que la méthode de la recherche de la configuration est essentiellement visuelle et ne peux dont pas être reproductible à l'identique pour la simple raison que cette configuration ne se reproduit jamais deux fois de la même façon. En gros, je dis que cela fonctionne comme la logicienne, méthode décrite à la page 141 du livre de Jean Comtat.
Comme tu le dis, BleuAzur, à force de me poser des questions je finis par perdre l'essentiel. Mais ou se trouve l'essentiel chez Marigny ?
D'abord, je n'essaye pas de suivre à la lettre ce que l'auteur prétend dire ou faire, mais de comprendre l'idée. Or la première idée de base concerne les chances simples, c'est à dire deux groupes de dix-huit numéros. Puisque l'on parle de signal d'attaque, que devons-nous rechercher dans la constitution de cette nouvelle chance simple ? Comme l'application de cette approche se joue sur les chances pleines, nous ne devons pas perdre l'idée que le gain est de 35 fois la mise plus la mise, soit 36 fois la mise. En misant sur dix-huit numéros, dix-sept seront perdant tandis qu'un seul sera gagnant. Le gain sur ce groupe sera toujours de 18 fois la mise (à condition d'avoir joué la même mise sur tous les numéros) et la perte sera aussi de 18 fois la mise. On peut dire que nous sommes bien dans une chance simple car le gain et la perte sont équivalente (mais de signe opposé).
La grande différence est que Marigny jouait sur les chances simples comme Rouge/Noir. Mais en ce point de l'étude, pour répondre à l'exigence de Marigny, nos deux groupes seront composés pour l'un des numéros retardataires et pour l'autre des numéros favoris. C'est cette tactique qui produira le plus grand écart, dont le signal d'attaque reposera sur la plage glissante de N coups. Comme le dit Ainelle, cette approche nous fera gagner du temps et rien d'autre. Je qualifierais ces deux groupes et le nombre N de coups comme était les préliminaires à la formation du signal d'attaque. Je signal au cas où vous ne me croiriez pas que je suis bien dans la méthode de cette discussion.
Le seul point dont on peut débattre est la valeur de ce N, pour faire en sorte d'avoir toujours le signal qui nous intéresse.
6 * racine carré de N = N
Pourquoi le résultat doit-il être égale à N le nombre de coups de la plage glissante ? Car le groupe des retardataires sera composé que de numéros non sortis (=0) tandis que le groupe des favoris sera composé des numéros sortis (=N). Et l'écart entre N et zéro donne N.
La solution à cette équation donne N= 36 ou N = 0.
Personnellement, je préfère 5 * racine carré de N = N, ce qui donne N = 25 ou N = 0. Et ce 25, en tant que plage glissante, correspond selon la loi du tiers, à exactement 18 numéros non sortis. J'ai mis du temps à comprendre ce facteur multiplicatif car la solution se trouvait dans la loi de poisson pour les mathématiciens (ou loi du tiers pour les joueurs).
@+
Mais rien n'indique que la configuration va toujours produire les mêmes conséquences, pour la simple raison que chaque boule est indépendante des autres boules. Je pense que la méthode de la recherche de la configuration est essentiellement visuelle et ne peux dont pas être reproductible à l'identique
@+
Rien qu'en écrivant cela t'es à côté du truc...on cherche pas du tout à reproduire quoi que ce soit. Il va falloir que tu l'intègres.
Mais ou se trouve l'essentiel chez Marigny ?
Tu devrais peut-être commencer par là. Je l'ai écrit mais je veux bien réitérer :
Recherche du point de tension d'un écart statistique, validation de l'attaque par une étude simultanée et indépendante des agglomérations et enfin exploitation de la convergence des probabilités à partir d'un signal afin de trouver une compensation partielle. Je peux pas faire mieux alors fais l'effort d'essayer de comprendre stp
J'ai mis du temps à comprendre ce facteur multiplicatif car la solution se trouvait dans la loi de poisson pour les mathématiciens (ou loi du tiers pour les joueurs).
Pas besoin de te compliquer la vie, le principe se déduit en 2 coups de crayon avec la loi binomiale. On a pas besoin de faire de savants calculs ici (sauf si tu souhaites perdre du temps)
Bonjour à toutes et à tous,
1) Varenne explique dans son exemple, le signal d'attaque qu'il utilise. Je ne cherche pas la contradiction, mais son exemple montre qu'il recherche une configuration pour lancer son attaque. Cette configuration est la sortie de la couleur retardataire. Si elle apparait une première fois, il ne fait rien. A la deuxième apparition, il lance son attaque sur la possible troisième apparition consécutive, donc juste après la deuxième apparition. Si le coup n'est pas gagnant, il attend à nouveau son signal (du deuxième coup) pour relancer son attaque. Et si j'ai bien compris, cette attaque se fait à masse égale.
Or je dis simplement, sur l'exemple de Varenne, que cette approche est aléatoire. Pourquoi ? Car chaque coup est indépendant des autres et une intermittence peut-être la règle et faire échouer l'attaque ! De plus, son attaque est ponctuelle. Je pense que l'utilisation d'une montante peut-être plus profitable ! Mais dans ce cas, le risque est plus important.
2) je suppose que ce ne sont pas tes mots à toi, mais bien ceux de Marigny de Grilleau.
3) je ne me complique pas la vie, j'essaye de comprendre.
@+
Bonjour à toutes et à tous,
maintenant, je ne comprends pas la combinaison de l'écart et des figures ?
Je suppose que Marigny espère, par le déséquilibre de l'écart, qu'en jouant la couleur retardataire, les figures auront plus de chances d'apparaitre.
Personnellement, je vois deux approches sans aucun liens !
@+
2) je suppose que ce ne sont pas tes mots à toi, mais bien ceux de Marigny de Grilleau.
@+
Ce sont les miens
Bonjour à toutes et à tous,
1) Varenne explique dans son exemple, le signal d'attaque qu'il utilise. Je ne cherche pas la contradiction, mais son exemple montre qu'il recherche une configuration pour lancer son attaque. Cette configuration est la sortie de la couleur retardataire. Si elle apparait une première fois, il ne fait rien. A la deuxième apparition, il lance son attaque sur la possible troisième apparition consécutive, donc juste après la deuxième apparition. Si le coup n'est pas gagnant, il attend à nouveau son signal (du deuxième coup) pour relancer son attaque. Et si j'ai bien compris, cette attaque se fait à masse égale.
@+
Cela n'est pas du tout suffisant
Bonjour à toutes et à tous,
maintenant, je ne comprends pas la combinaison de l'écart et des figures ?
Je suppose que Marigny espère, par le déséquilibre de l'écart, qu'en jouant la couleur retardataire, les figures auront plus de chances d'apparaitre.
Personnellement, je vois deux approches sans aucun liens !
@+
Je suis surpris de voir que tu comprends pas cela.
Pour faire simple :
Tu as d'un côté l'écart statistique et de l'autre l'étude d'une agglomération déficitaire. Je vais essayer de ne pas trop en dire mais néanmoins : lorsque le point de tension de l'écart est atteint et que la compensation doit opérer, on se sert des agglomérations déficitaires pour avoir le signal. En gros, la fusion de 2 études indépendantes permet de capter la convergence des probabilités. Est-ce que cela te paraît plus clair ?
Bonjour à toutes et à tous,
le problème est que tu pars d'une hypothèse que je rejette ! Il n'y a pas de liens de cause à effet entre d'une part l'écart statistique et d'autre part les figures. Tu dis que je n'ai rien compris, mais tu prends pour argent comptant tout ce qui est dit dans l’œuvre de Marigny de Grilleau comme si son œuvre était une bible.
Pour moi, tu additionnes des carottes avec des navets et tu crois obtenir du blé avec cela !
Je comprends que tu recherches une convergence entre deux approches différentes, mais la multiplicité de ces différences ne donne pas en finalité plus de maitrise. Je pense même, à l'inverse que la division donne une perte d'information qui n'est profitable à personne. Le jeu doit s'étudier dans sa globalité et non dans sa division.
D'ailleurs Marigny croyait que l'écart pouvait être infini. Si je l'interprète bien, en gros, il dit que tout est possible et que l'on ne peut rien prévoir. Et puis comparativement, est-ce que l'approche de Marigny est bien meilleur que la contre-série ? Je pense même que la rentabilité est minime car le signal d'attaque est trop long à attendre !
@+
Bonjour à toutes et à tous,
le problème est que tu pars d'une hypothèse que je rejette ! Il n'y a pas de liens de cause à effet entre d'une part l'écart statistique et d'autre part les figures. Tu dis que je n'ai rien compris, mais tu prends pour argent comptant tout ce qui est dit dans l’œuvre de Marigny de Grilleau comme si son œuvre était une bible.
@+
M.D.G n'explique que partiellement ceci. Comme je t'ai dit, il faut extrapoler. Son oeuvre n'est pas du tout une bilbe pour moi, c'est surtout beaucoup de blabla pour pas grand-chose. Par contre, ce que tu ne sembles pas admettre c'est la fusion de deux phénomènes indépendants. Pour être plus clair, une compensation va amener l'autre. Bien évidemment, il reste à savoir pourquoi et quand...
Pour moi, tu additionnes des carottes avec des navets et tu crois obtenir du blé avec cela !
@+
C'est à l'église qu'on croit (tu m'a tendu la perche avec ta bible )