Une nouvelle percée en matière de gestion des fonds publics, et l’astuce réside encore une fois dans les jeux d’argent et de hasard. De plus en plus de gouvernement se tourne vers les jeux pour résoudre des problèmes financiers et économique comme est le cas de la Grèce, ou pomper plus d’argent dans le trésor comme est le cas de la France et la nouveauté cette fois vient du Royaume Uni, où le gouvernement a décidé de se tourner vers les comptes abandonnés des anciens clients de casinos en ligne pour collecter leurs fonds et le verser dans le trésor public pour rénover les clubs de sports publics. Et pour ne pas perdre de temps, une étude préliminaire est lancée pour évaluer le montant global des fonds qui se trouvent jusqu’au là dans ces comptes abandonnés.
L’idée de ce nouveau concept émane du fait que plusieurs milliers de personnes misent sur des paris sportifs et il parait tout naturel de réorienter l’argent abandonnés dans des comptes de parieurs et de joueurs en ligne pour soutenir et encourager le sport dans le Royaume uni en rénovant et améliorant les conditions des clubs de sports publics, idée confirmée et encourager par le ministre du tourisme et du patrimoine culturel britannique John Penrose. Cette opération sauvetage pour le sport britannique public, si elle parait à premier abord très attrayante, requière tout un processus qui permet d’établir dans un premier temps les critères pour définir un compte dormant, puis faire le recensement minutieux de tous les comptes abandonnés et enfin définir une stratégie claire sur la méthode à suivre pour faire bénéficier les clubs de ses fonds collectés auprès des comptes dormants de jeux en lignes. Cette mission délicate était reléguée au député Don Foster, qui doit avec son équipe travailler sur le dossier et vérifier également toutes les ramifications juridiques concernant l’utilisation de cet argent une fois collecté des comptes abandonnés, pour rédiger enfin un rapport détaillé qui sera consulté par le gouvernement vers la fin de cette année, et qui va aboutir sur la promulgation d’une nouvelle législation réglementant l’emploi de l’argent des comptes abandonnés de jeux en lignes en faveur des clubs sportifs, et ensuite une procédure de consultation suivra.
Ce nouveau concept typiquement britannique peut être adopté par d’autres pays de la communauté européenne qui peuvent s’inspirer du modèle britannique, surtout dans les pays où il y a une forte concentration de parieurs et joueurs en ligne. Cette idée peut surtout intéresser la France à forte population de parieurs qui dépassent largement plusieurs millions de joueurs en ligne et donc l’hexagone a beaucoup plus de chance de détenir également un important nombre de comptes abandonnés. Cette initiative se base sur le principe de détournement de fonds de comptes dormants vers les clubs sportifs du pays, et vue l’importance des joueurs en ligne, il y a de grandes chances qu’on atteint des montants astronomiques qui peuvent atteindre facilement plusieurs centaines de milliers de dollars. Cet argent collecté va sûrement faire le bonheur des clubs sportifs qui peuvent améliorer les conditions de pratique du sport, se procurer de nouveaux équipement, rénover les établissement et subvenir au fond de roulement nécessaire à la gestion quotidienne des établissement. Un coup de pouce inattendu mais bien réfléchit qui ne peut qu’être bénéfique pour les clubs sportifs et pour le sport britannique en général.
Il est important de noter que le soin dont entoure le gouvernement le domaine sportif en Grande Bretagne relève du fait que le sport fait partie intégrante du quotidien britannique et les clubs de sport sont nombreux. Reste qu’une grande majorité sont des clubs privés qui sont très onéreux et donc pas à la portée de tout le monde, sans parler que tant les britanniques sont épris de sport, alors que pour les clubs sportifs publics les files d’attentes s’allongent au fil des journées, d’où l’intérêt porté au comptes dormants des paris sportifs et autres jeux en ligne pour encourager le secteur sportif public et subventionner adéquatement ses besoins.