Nevada Gold lance un site Web de jeux sociaux

L’opérateur américain de casino terrestre Nevada Gold and Casinos Incorporated a lancé son site de jeux gratuits Gold Star Slots sur Facebook avec une gamme de machines à sous avec des composants sociaux comme des classements d’ami.

La société à Houston a déclaré que Gold Star Slots permettra aux joueurs de profiter d'un portefeuille d’amusement de machines à sous tout en les présentant en plus de ses propriétés de briques et mortier à Washington et dans le Dakota du Sud.

« Les jeux sociaux est l'une des principales innovations technologiques de notre industrie et le site de jeux sociaux Gold Star Slots positionne Nevada Gold à la pointe », a déclaré Trevor Taylor, vice-président du développement et des opérations de Nevada Gold.

« Les clients de nos propriétés Washington Gold et South Dakota Gold peuvent se tenir informés des événements à venir et les promotions sur nos sites physiques via la page Facebook de Gold Star Slots. »

Nevada Gold a déclaré que la nouvelle plate-forme de jeux sociaux lui permettra d'élargir sa portée marketing dans le but de continuer à développer la notoriété de sa marque. En plus de ‘jetons’ fournies gratuitement à ceux qui se connectent, les clients ont également la possibilité d'acheter des jetons supplémentaires afin de prolonger leur expérience de divertissement.

« Disposant d'une gamme de composants sociaux fortement engageant des classements d'ami pour le don et le partage, Gold Star Slots offre à ses clients existants du Nevada Gold la possibilité de jouer à leurs jeux préférés dans le confort de leurs propres maisons, tout en permettant à de nouveaux clients potentiels de vivre l'excitation de jouer à de vrais jeux de machines à sous de casino gratuitement en ligne », lu dans une déclaration de Nevada Gold.

Jeux d’argent en Grèce :Les bénéfices plongent pour l’OPAP

Comme la crise financière continue de mordre, le monopole des jeux grec OPAP SA a publié ses résultats financiers pour le troisième trimestre de l'année montrant une baisse de 16 pour cent en glissement annuel des bénéfices nets à € 135,4 millions.

Selon un rapport du service des nouvelles de Reuters, les grecs touchés par l'austérité ont rejeté le jeu dans le sillage de leur nez plongé sur économie au cours de l'été, qui a percé un trou dans les bénéfices trimestriels de l'OPAP.

Contrairement à certains pays touchés par la récession, où plus de gens se tournent vers les loteries comme leur dernier espoir d’argent comptant rapide, Reuters rapporte que les grecs ont moins joué après avoir été frappé par des réductions de salaire et des hausses d'impôts par un gouvernement endetté qui tente d'éviter le manque.

« Ce qu'ils disent comme quoi la pauvreté stimule le jeu est un mythe», a déclaré Kyriakos Toptsidis, chef des agents commerciaux de l'OPAP. Les grecs n'ont plus rien a manger et considèrent ces jeux d'argent comme une pure escroquerie dont ils ne quotionnent plus le fonctionnement en cette période de crise

«Quand les gens n'ont pas assez à manger, ils n'achètent pas de billets de loterie. Ils ne peuvent pas arrêter complètement, mais ils réduisent. »

Les récents résultats financiers de l’OPAP ont également montré que les ventes de détail, après ajustement pour l'inflation, ont diminué d'environ 25 pour cent de leur sommet en 2008 alors que les ventes globales ont chuté d'environ 20 pour cent au cours des trois dernières années. Pour le troisième trimestre, l'opérateur a enregistré une baisse de 11,4 pour cent en glissement annuel dans la vente globale de € 1,01 milliards comme les gens se sont détournés de ses deux jeux phares, Kino et Stihima, qui représentent environ 85 pour cent de ses revenus totaux.

«La chute de nos ventes est certainement inférieur à celui d'autres secteurs comme du détail comme l'électronique et l’habillement, mais la croissance des revenus réels est impossible dans ces moments difficiles », a déclaré un responsable non identifié de l’OPAP cité par Reuters.

Les récents résultats montrent également que le chiffre d'affaires du jeu de paris sportifs Stihima est tombé de 20,3 pour cent en glissement annuel à € 346 millions tandis que la loterie de Kino a chuté de 14,4 pour cent par rapport à la même période de trois mois en 2010 à € 516 millions.« Les gens viennent encore pour jouer, mais ils misent des paris d'un ou deux euros au lieu de cinq ou dix comme ils le faisaient auparavant », a déclaré Toptsidis.

L'Etat détient 34 pour cent de l'OPAP et avait précédemment annoncé son intention de commencer une vente d'actions l'année prochaine. Cependant, l'opérateur n’a pas en ce moment annoncé un dividende intérimaire, qui marque que c’est la première fois cela arrive depuis sa cotation en bourse en 2000, et a vu sa valeur diminuer de moitié cette année.

des joueurs du casino de cassis agréssés

Le 26 mars, deux joueurs marseillais étaient tombés dans un guet-apens après avoir gagné plusieurs milliers d'euros. Cinq braqueurs ont été interpellés à Air-Bel et La Pomme

Le 26 mars, deux joueurs marseillais étaient tombés dans un guet-apens après avoir gagné plusieurs milliers d'euros à la roulette du Casino de Cassis. Vers 3 heures du matin, les victimes avaient été prises en chasse sur la route de Carnoux par un véhicule. Obligées de s'arrêter, elles avaient alors été braquées par une équipe de malfaiteurs, exigeant l'argent gagné au cours de la soirée.

Les joueurs leur avaient ainsi remis la totalité de leurs gains, sans qu'aucun coup de feu ne soit tiré. Les malfaiteurs avaient aussitôt repris la route en direction de Marseille, laissant derrière eux les deux hommes sous le choc. Il a suffi aux braqueurs de quelques minutes seulement pour réussir leur coup. Sans aucun témoin. Une course-poursuite jusqu'à La Pomme Sauf qu'un dispositif de la gendarmerie d'Aubagne avait été mis en place. Par chance, deux patrouilles du Psig (Peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie), avisées par radio, avaient croisé le véhicule des braqueurs entre Cassis et Carnoux.

Les gendarmes prévenaient alors immédiatement une autre patrouille qui prenait les malfaiteurs en chasse. La course-poursuite, à plus de 180km/h sur l'autoroute A50entre Aubagne et Marseille, s'était terminée à la cité Air-Bel.

Là, les gendarmes perdaient la trace des voyous. Ils avaient, néanmoins, eu le temps de relever de nombreux indices. À l'issue de deux mois et demi d'une minutieuse enquête (vidéosurveillances, filatures, écoutes?), les gendarmes ont réussi à mettre au jour de nouveaux éléments qui ont permis l'identification de quatre des cinq braqueurs.

Les suspects ont été interpellés mardi matin, dans le cadre d'une opération d'envergure, réunissant 40 militaires, à la cité Air-Bel et à La Pomme (11e). La garde à vue des quatre jeunes hommes, âgés de 20 à 24 ans, dans les locaux de la gendarmerie d'Aubagne, a permis d'identifier le cinquième membre du commando: un mineur de 16ans, arrêté mercredi dans le 5e arr. de Marseille. Au cours des perquisitions, les gendarmes ont découvert trois armes factices "plus vraies que nature", selon le lieutenant-colonel Thibaut Lagrange, ainsi que les tenues vestimentaires ayant servi au braquage. Les cinq braqueurs présumés ont été présentés, hier, à un juge d'instruction.

Ils ont été mis en examen pour "vol avec arme en bande organisée" avant d'être écroués.

des cercles de jeux parisien fermés

Deux cercles de jeux parisiens ont été fermés mercredi, après un premier en mai, et plusieurs personnes placées en garde à vue, soupçonnées de délits financiers dont certains sont liés à des activités du "milieu", a-t-on appris de sources proches de l'enquête.

Les policiers du service central des Courses et Jeux de la direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) ont effectué deux opérations dans les cercles de jeux Eldo, près de la place de la République (IIIe), et Wagram (VIIe), près des Champs-Elysées. Agissant sur commission rogatoire d'un juge de la Juridiction interrégionale spécialisée (Jirs), les policiers ont interpellé "plus d'une dizaine de personnes", dont des responsables de ces cercles, qui ont été placées en garde à vue.

L'enquête porte, selon les sources, sur des faits "à caractère financier", les cercles étant présumés "s'affranchir de la législation en vigueur". Certains de ces faits sont présumés "relever du milieu", selon ces sources, l'une d'elles évoquant à cet égard le "milieu corse".

Les parties de poker qui avaient lieu au moment de l'intervention policière ont été stoppées et les clients ont pu repartir après vérification de leurs identités, a aussi précisé l'une des sources. Les deux établissements ont aussitôt fait l'objet de fermetures administratives provisoires.

L'un des plus importants établissements de jeu parisien, le cercle Haussmann, avait été également fermé fin mai. Cette fermeture était la troisième intervenant à Paris ces trois dernières années, avec celles des cercles Concorde et de l'Industrie et du commerce.

Cinq personnes, soupçonnées d'avoir organisé des jeux de hasard de façon illicite à Haussmann, avaient été mises en examen et laissées en liberté pour "tenue de maison de jeux de hasard en bande organisée" dans le cadre d'une information judiciaire ouverte en mars, avait-on précisé de source judiciaire. Le cercle Wagram est également un important cercle de jeux avec notamment une quinzaine de tables de poker.

On ignorait jeudi le lien précis entre ces différentes affaires. Selon l'une des sources, elle peut "préfigurer un grand ménage" dans les cercles de jeux parisiens.

Paris concentre l'essentiel de la quinzaine de cercles de jeux en France. Leur réputation est parfois sulfureuse comme en témoigne l'affaire du Cercle Concorde en 2008.

Roland Cassone, considéré comme l'un des "parrains" du sud de la France, avait été écroué en décembre 2008 à Marseille avant d'être libéré sous contrôle judiciaire. Les enquêteurs soupçonnaient l'établissement parisien d'avoir fonctionné "comme un casino" au profit de ses propriétaires et non comme un cercle.

Des rivalités pour la redistribution de l'argent présumé détourné avaient éclaté peu avant, selon la police, entre des clans "mafieux corses et marseillais".

Mise en demeure de 19 sites par l’ARJEL

Depuis la promulgation de la loi décidant de l’ouverture du marché des jeux en ligne en France quarante quatre demandes ont été déposées or seulement vingt trois licences étaient attribuées. Mais l’autorité de régulation des jeux en ligne avaient encore pour mission de surveiller de près les sites illégaux et effectivement elle a pris des mesures radicales en mettant en demeure 19 sites qui ne se conforment pas aux réglementations en vigueur.

Cette mise en demeure vient sanctionner et mettre fin à toute offre illégale qui risque de mettre en péril l’équilibre du nouveau marché des jeux en ligne qui fait encore ses premiers pas et en vue d’instaurer la confiance avec les partenaires qui ont obtenus légalement leurs licences.

L’autorité de régulation des jeux en lignes s’est fixée comme objectif prioritaire d’instaurer l’ordre dans le panorama des jeux en ligne en France. Mais cette mission ne peut être menée sans grincement des dents surtout que plusieurs joueurs français surtout ceux qui prisent le poker jouent sur des sites illégaux pour participer dans des tournois internationaux qui proposent des gains astronomiques, alors l’autorité de régulation des jeux en ligne doit impérativement mettre fin à cette situation délicate , car elle estime inconcevable que des opérateurs des site illégaux sont affranchis de taxes alors que ceux des sites agrées sont imposés. L’ARJEL , l'aurorité responsable de la régulation et le contrôle des jeux en lignes en France, a annoncé la mise en demeure de 19 sites illégaux mais l’affaire ne s’arrête pas là, car en cas de non respect de cette mise en demeure l’accès à ces sites sera bloqués et ce par une décision émise du tribunal de grande instance de paris.

Parmi les sites qui ont été frappés par la mise en demeure de l’ARJEL, on compte dix neufs dont seize seulement ont été annoncés publiquement il s’agit notamment de: PaddyPower, Boylesports, Betsson, Betfred, Interwetten, 888sport, Globet, Jaxx, 10bet, 32red, Stanjames, Bet24, Centrebet, Betcris, Stryyke, Jetbull. Cette mise en demeure n’est qu’un premier rappel pour que les sites illégaux qui opèrent sur le territoire français cessent leurs activités sous peine de poursuites pénales mais il est à noter que les dix neuf sites ne représentent qu’une partie des opérateurs illégaux qui proposent leurs services en ligne sans avoir décroché une licence les autorisant à proposer des jeux en lignes aux joueurs français.

Ce ne sont pas les premiers sites à être mis en demeure. A la mi-juin, l’autorité de régulation des jeux en ligne a déjà traité un premier cas, demeurant anonyme, pour non-respect de la réglementation en vigueur à propos des comptes joueurs. Le but est de rendre impénétrable le marché français du jeu en ligne, estimé à un million de joueurs et 200 à 300 millions d'euros de chiffre d'affaires.

Une des activités de l’autorité de régulation des jeux en ligne, a toujours été de « lutter contre l'offre illégale » de sites désormais non-autorisés. Si ces mises en demeure ne sont pas suivies d'effet, une saisine du Président du Tribunal de Grande Instance de Paris par la voie du référé (recours rapide voire urgent) sera ordonnée afin de bloquer les dix neuf sites visés. Ces actions pourraient même dans un avenir très proche ce qui peut inquiéter plus d’un site illégal.

Toujours est-il que l'ARJEL (l'autorité des jeux en lignes) va avoir une somme de travail à accomplir sur le sujet puisque déjà, une dizaine de signalements auraient été rapportés au Parquet. Pour rappel, un autre pan de l'activité de l'autorité est également de vérifier la conformité des activités de pari à la législation mais également de connaître l'identité des parieurs !

Et si l’autorité de régulation des jeux en ligne en France, sanctionne ceux qui ne se conforment pas au règlement, elle ne s’empêche pas d’accorder deux nouvelles licences pour le 888 et la SFJI. Le groupe 888 est basé à Gibraltar, dont le propriétaire n’est autre Cassava Entreprise (Gibraltar) Limited, société qui gère 888.com. Cassava Enterprises est titulaire d'une licence d'exploitation concédée par le gouvernement de Gibraltar. Le site 888. Com quant à lui fut lancé en 1997, et depuis le groupe 888 compte plusieurs bureaux à travers le monde et emploie plus de 880 salariés à plein temps. Alors que la SFJI, Société Française des Jeux sur Internet, est un groupement de 19 actionnaires spécialisés dans les jeux de casinos terrestres, au total, la société compte à son actif, 40 casinos répartis sur le territoire français. Cet état des choses, avec sa proximité avec les joueurs de casino réel, pratiquant les tournois de poker organisés dans ses établissement la SFJI détient un avantage majeur pour les salles de jeux en ligne d’un autre côté les actionnaires de la SFJI totalisent près de 4 000 000 d’entrées par an et voient dans les jeux en ligne une nouvelle opportunité pour réaliser de meilleurs chiffres.

 

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